mercredi, juin 25, 2008

Phénomènes

En effet, il était temps que je parle d'un film que j'ai été voir récemment : Phénomènes.

Bon, avant de donner mon avis sur ce film, je vais d'abord vous envoyer la bande annonce.


Phénomènes


Jusqu'à là, tout va bien. Une bande annonce assez alléchante, ça sent le suspens, la catastrophe, bref, ça donne envie.

L'histoire parle d'un phénomène inexpliqué qui survient dans des parcs. Dès le début du film, on rentre tout de suite dans le vif du sujet. Une sorte de coup de vent, et là, tout le monde se suicide, on ne sait pas vraiment pourquoi. Tout le monde ? Ou presque, bien évidemment, une poignée de gaulois... etc.

C'est alors que la foule décide de fuir. Évidemment, au cours de l'histoire, plein de monde se suicide. C'est un peu le but que s'est donné le réalisateur, un max de morts, ya qu'ça d'bon.

Au final, la fin est un peu moyenne, et le film est long. J'ai ris deux fois, une petite blagounette qui passait, toute la salle l'a saisi. Mais à part ça, c'était assez long, ennuyeux. Quelle dommage pour un scénario qui s'annonçait vraiment prometteur.

Côté niveau des acteurs, c'est moyen. L'acteur principal qu'on a déjà vu dans d'autres films joue assez bien, même si je pense que ce rôle aurait du être joué par un autre acteur. Quand à sa femme dans le film, elle est vraiment très étrange et bizarre, et ses mimiques me rappellent une personne que je ne citerai pas...


Même l'affiche était pas mal.


On devait aller voir JCVD, et la séance était décalée d'une heure, on a fini par voir ce film... On aurait du patienter. Enfin, la patience nous a permis de voir Eric & Ramzy, qui faisaient la promotion de leur nouveau film "Two seuls". Un film d'Eric & Ramzy, que je n'irai pas voir si je peux me permettre. Enfin, ils ont quand même fait les petits comiques devant la salle, c'était sympa. Et puis ils sont repartis en Porshe & Audi A7, tranquillement. Ils sont restés 20 minutes devant leur film avant de partir ;)

Bien choisir ses films, et ne pas se laisser influencer sur les choix des autres, qui ne regardent pas les bandes annonces !


Voyage aux quatre coins du globe

Une vidéo que j'ai trouvé sur Internet : Matt, une personne ayant visité 42 pays en 14 mois.
Cette vidéo paye par delà son originalité, mais aussi par la participation des populations locales.

Vraiment, une belle vidéo :

Where the Hell is Matt?



Ça a du coûter cher en billets d'avion ! Mais je pense que ça en valait la peine. Il ne pourra pas dire qu'il n'a rien fait de sa vie quand il regardera derrière lui.

samedi, juin 21, 2008

Tomorrow can't wait



David Guetta - Tomorrow can't wait


mercredi, juin 18, 2008

France 0 - 2 Italie

Salut à toutes et à tous !

Depuis plusieurs jours, on se demande pour l'EURO 2008, qui finira dernier, et passera les deux prochaines années en tant que "gros looser", en attendant le mondial 2010.
Depuis la deuxième phase du tour de poule, à savoir le match nul contre la Roumanie, c'était la course au charriage. Je supporte l'Italie, et j'ai pris cher verbalement ;)

Quand l'Italie a fait match nul contre la Roumanie, j'ai du prendre environ 30 messages (seulement sur MSN), et mon PC a planté deux fois. Ça charrie, ça charrie. Et puis quand la France subissait sa défaite 4-1 juste après face aux néerlandais, le silence immédiat !

On attendait tous le match France - Italie, déterminant pour la suite de la compétition. Pour ma part, victoire ou défaite, les deux sortaient de la poule car les Pays Bas auraient laissé gagner la Roumanie, afin d'éliminer les deux favoris.

Jour J, je m'installe dans un bar avec des amis pour regarder le match (on a plus parler que regarder, pour cette raison je ne pourrai pas commenter des passages que j'ai loupé).

J'ai quand même trouvé un résumé du match, à voir ci dessous...

Le résumé du match


Bon, 2 - 0 pour les Italiens, et une défaite du gang des caravanes, qui sont priés de retrouver leur ânes sur le parking pour rentrer à la maison.

Que dire de plus, à part que la France se retrouve en dernière position ? Et bien que c'était une équipe de merde, et que c'était prévisible depuis le début (c'est mon avis).

Voici ce que j'ai pû recevoir comme message, car je supporte l'Italie, je me justifierai si je le peux juste après :

- T'habites en France, t'es français, et tu supportes l'Italie, bouffon !
-> On est tous libre de supporter l'équipe qu'on veut supporter. Je n'aime pas du tout l'équipe de France, et je ne les supporte pas, tout simplement parce qu'ils ne chantent pas la Marseillaise. De plus, notre hymne nationale est sifflée par le public, donc vraiment, je préfère laisser cette équipe aux autre. L'Italie en revanche, chante son hymne. Le public chante son hymne aussi, même pendant le match. Rien à voir.

- Alors le pizzaiolo, on va te les faire manger tes pizzas tu vas voir...
-> Apprécie plutôt celle qu'on t'a livré hier soir, 2-0, et saches que tu as désormais deux ans pour la savourer ! Bon appétit !

- Tu as regardé ton premier match de foot hier soir, t'y connais rien au foot, qu'est ce que tu parles !
-> Ouh, le rageux !

- Paninis, Pizzas !
- On va vous sortir, bande de ritals de merde !
- "Benjamin a rejoint le groupe ANTI-RITALS"
- Tu supportes l'Italie ? Mais t'as rien compris sérieux !

- Vous avez payé l'arbitre combien ?
-> Rien du tout, c'est l'arbitre. Ca aurait été le contraire, ça aurait été pareil. C'est l'arbitrage !

- Pas de gloire pour des matchs gagnés comme ça.
-> Pas de honte non plus.

- BOUFFFFFFFFON !
- Ce mec il supporte l'Italie, il est Italien de la porte d'Italie ! T'es autant Italien que je suis russe !

- Ya que des vieux dans ton équipe !
-> Regarde la tienne !

- Arbitre payé !
-> blablabla

- A 11 on aurait gagné...
-> bis.


Je ne vais pas en rajouter, il y en a déjà pas mal, ce sont les meilleures répliques (censurées bien sûr).

Pour les critiqueux du dimanche, je vous laisse le soin de regarder cette vidéo qui est passée hier soir sur RTL, des analystes qui vous diront tout :


"Une équipe qui ne nous fait plus rêver"


Et voilà !

Sans rancunes mesdemoiselles, ce n'est qu'un sport.
Ah oui, j'ajoute quand même.
L'interview de l'entraîneur de l'équipe de France, à savoir Domenech, était pas mal après le match :

- Qu'avez-vous de dire aux français à propos de votre future démission ?
- Je n'y pense pas, je pense plutôt à ma femme que je vais demander en mariage ce soir...

Belle façon de détourner les questions. Enfin bon, la question est un peu provocatrice, elle parle de sa démission, alors qu'il est encore sous contrat.

Rendez vous le 22 Juin, Italie - Espagne.

lundi, juin 16, 2008

Guillaume Musso - Parce que je t'aime


Toujours abonné à un revendeur de livres, j'ai dû faire mes achats obligatoires et tenir mes engagements.
Deux livres, que j'avais acheté il y a de ça un peu plus de deux mois.
Parmi ces deux romans, un ouvrage de Guillaume Musso, dont les critiques étaient visiblement bonnes sur différents magasines et journaux populaires.

L'accroche de ce roman qui n'est autre qu'un polar est plutôt attrayante, voyez plutôt :

On se demande ce que Musso veut nous faire
comprendre quand on regarde cette couverture.


Ils formaient l'image même du bonheur : Mark, le psychologue que le tout Manhattan s'arrachait, Nicole, la brillante violoniste et Layla, leur petite fille de cinq ans. Et puis Layla a disparu. Sans laisser de traces. Leur couple n'a pas résisté à ce drame. Cinq ans après, l'incroyable se produit : on a retrouvé Layla, exactement au même endroit. Vivante, mais plongée dans un étrange mutisme. Où est-elle allée ? Avec qui ? Et surtout, comment est-elle revenue ?

Par manque de temps à cause d'examens et autres, il me manquait de temps pour lire. Aujourd'hui, c'est à peu près pareil ! C'est donc dans le train que j'ai lu ce livre, car ça me manquait de ne pas me plonger dans une histoire.

J'ai lu ce livre en 3 jours, et je l'ai adoré.

L'histoire de deux psychologues au passé plutôt difficile, réussissent plutôt bien leur vie. Jusqu'au jour ou l'un d'entre eux, Mark, se fait enlever sa fille. C'est alors qu'il décide de ne plus rentrer chez lui tant qu'il ne l'aura pas retrouvé. Il se retrouve dans la rue à boire, et à arpenter les rues. Si sa fille souffre, il veut souffrir avec.

Guillaume Musso fait ressortir énormément de sentiments à travers ce livre, vraiment touchant. Pour certains livres, il faut plusieurs pages avant de rentrer vraiment dans le bain. Ici, après la première, on s'accroche déjà.

Guillaume Musso a ponctué son histoire de plusieurs flashbacks qui nous font comprendre le passé des principaux personnages. Et ainsi, on peut ressentir ce qu'éprouve Mark, alors qu'il a perdu sa fille, son unique raison de vivre. Chaque début de chapitre démarre par une petite phrase, écrite par une personne connue, philisophe ou scientifique. Ce qui est dit est tellement vrai.

Dans ce livre, on comprend à quel point la vengeance est inutile. Dans la vie, on pourra tous compter plusieurs déceptions. Un décès, une rupture, un vol, un crime, et d'autres choses. Des évènements qui pourront nous donner l'envie de vengeance. La vengeance, c'est pour beaucoup l'unique moyen de se soulager. Une fille perd l'unique personne qu'il y avait dans sa vie, sa mère, à cause du mensonge d'un médecin corrompu. La seule chose qu'elle éprouve, qu'elle attend depuis des années, c'est la vengeance. L'envie de le tuer, car sa mère est passée dans l'autre monde. Toutes ces années ou elle a attendu ce moment, elle errait sans réèl but. C'est l'un des psychologue qui lui fera comprendre qu'elle veut tuer le médecin pour se tuer elle même, après tout ce temps perdu, d'errance et de solitude.

Pour oublier ces douleurs, il faut savoir pardonner. Peut-être pas pour la personne qui nous a fait mal, ou nous a trahi, mais au moins pour soi. De toute manière, pour toutes ces choses là, il faut savoir que la roue tourne. La vengeance est inutile. Pour ma part, j'évite ce genre de comportement, car il est vrai que ça n'apporte que des ennuis au final. A quoi bon se venger, alors que le mal est déjà fait, si ce n'est que pour se mettre un peu plus dans le pétrin. Et après vengeance, il n'est pas du tout sûr que le mal s'en aille définitivement.

Pour les quelques coups dans le dos que j'ai reçu durant ces dernières années, même si j'en n'ai reçu que très peu, et c'est tant mieux, je n'ai pas cherché à me venger. Certes, j'y ai déjà pensé, et je sais très bien que pour chaque déception ou évènements qui ont porté atteinte à mon honneur ou à moi-même, j'aurais pu rendre ce que l'on m'a fait, au double, ou au triple. Aussi longtemps qu'on médite sa vengeance, on garde ses blessures ouvertes. La vengeance ne remplace rien.

Ne soyons pas stupides, nous ne sommes pas des enfants. Être rancunier ne procure pas du tout la force mentale. On ne perd pas la douleur en la transmettant à quelqu'un d'autre. Maintenant, à chacun son raisonnement. Pour d'autres, inutile de réfléchir. On passe à l'acte, généralement dénué de sens, tant qu'il fait mal, quitte à en venir aux mains. Ainsi, le mépris reste la meilleure forme de vengeance.

Je me félicite d'avoir ce côté de jugement de la situation ou de pensée, plutôt que de passer par la voie la plus directe, la plus simple, et la plus ridicule.



L'histoire est d'autant plus palpitante que la fin est surprenante.


Nous devons nous y habituer : aux plus importantes croisées de notre vie, il n'y a pas de signalisation.


Coldplay - Viva la vida


Dernier clip, tiré de son dernier album.

mercredi, juin 11, 2008

Un lundi, sauce Jean-Bernard...

Par quoi je commence, l'euro, le train...

Dans l'ordre. Le train...

Lundi, en rentrant du boulot, alors qu'une mini-canicule se produisait (à 26° degré quand on ne s'y attend pas, c'est "chaleur"). A celà, on y couple une mini-grève des trains.

Alors je décide de prendre le BUS. Puis, La plaine stade de France, RER B.
Le train arrive en retard, évidemment. Et là, 15 minutes plus tard, sous un soleil qui commence à taper sévère, pas d'ombre, pas de débardeur ni de short... Le train arrive. Les portes s'ouvrent, une boîte à sardines. Les gens ne bougent pas. Dehors, c'est la fournaise, je n'ose même pas imaginer dedans. Le train fait une pause dans la station, car il y a une anomalie sur Chatelet-les-Halles. Personne ne peut monter, trop de monde. Mais personne ne descend. Puis, on entend "put**" ou alors "impossible sérieux", et des gens qui craquaient à l'intérieur ont cédé leur place. Les quelques personnes sur le quai ont rushé comme des ânes, en rentrant littéralement dans la masse d'usagers RATP. Évidemment, pas de place, je me préfère pas essayer de rentrer une jambe... Je reste sur le quai ensoleillé.

Alors je décide d'aller voir le chauffeur, qui était descendu de sa cabine. Je le regarde et je lui dis: - Vous allez louper le match là...
- Bah c'est prévu puisque je viens de commencer ma journée.

Il est 17 heures.

- Mais vous allez finir tard alors.
- Bah ouais, vers 21h00.
- Ah, vous avez travaillé ce matin aussi ?
- Non non.

J'avais envie de rigoler en fait. Mais j'ai continué à lui parler...

- Mais c'est quoi exactement vos horaires ?
- Bah ça dépend, des fois c'est le matin, des fois c'est le soir...

Le chauffeur était un type super "relaaaax max." Un Doc Gynéco asiatique. Peace and Love fiston.

Et puis je vois deux mecs dans sa cabine. Je pose pas de questions, et là une dame sort du premier wagon qui était blindé. Elle craque la pauvre, elle a fait 5 minutes dans le wagon, elle transpire déjà. Et elle est pas le seul, j'ai pas envie de rentrer dedans, ça doit couler.

Elle demande au chauffeur :

- Excusez moi Monsieur, il reste une place dans votre cabine ?
- Il en reste deux si vous voulez... (peace and love, je vous rappelle).

Ni une, ni deux, je rentre dans la cabine du chauffeur. Dans la cabine, on devait atteindre les 40°. Horrible ! Ils sont pas climatisés, ça explique peut être les grèves. En tout cas, j'en enlève ma veste de costard. Puis, je ressors, c'est insoutenable dedans.

J'attends dehors, sous le soleil de plomb. Les reflets du soleil sur les barres de métal de la station me rappellent clairement qu'on arrive en plein sur l'été. Rien qu'à les regarder, ça donne encore plus chaud. Puis j'entends le chauffeur qui sort son micro pour dire qu'on va rester encore 10 minutes. Dans les wagons personne bouge. Si, 4 à 5 personnes sortent car elles craquent.

Puis, j'entends le chauffeur parler. Je l'écoute même pas en fait, j'avais la tête ailleurs.
Il répète : "Monsieur, on y va !"

Ahaha ! J'avais envie de dire "chauffeur, déposez moi directement devant chez moi je vous prie."
Ni trois, ni quatre, je remonte dans la cabine du chauffeur. L'homme appuie sur un bouton, le long bip des portières qui se referment. Et voilà, on décolle...


Ca a l'air dur !


Le chauffeur, ayant fait monté 4 personnes, qu'on peut désormais appelé V.I.P, essaye peut-être de frimer en appuyant sur plein de boutons... Deux seulement. A l'intérieur, un brouahaha (sans rire), sûrement un coordinateur qui n'arrêtait pas de parler pour dire "Bon Jean Mich' t'attends 40 secondes que Bernard passe l'embranch'ment avant toé"."Robert, tu vas t'arrêter à la prochaine station pas'ke là ya un pet' sur Chatelet donc pas d'train".

J'avais limite envie de prendre le micro et de dire "Allô Biloute ? ya quéqun dans l'cornet ?", je veux dire par là, Robert, Bernard et Jean-Michel. Bon. Et le chauffeur comme vous voulez le voir sur la vidéo, avec un mouvement rapide de la main pour atteindre une sorte de bouton robinet...
Bref, c'était très excitant. Et puis on arrive à Gare du nord. Dans la cabine du chauffeur, c'est un véritable Dancefloor.


Arrivée très attendue des voyageurs qui sont là depuis 30 minutes.

Le chauffeur descend, j'avais envie de rester. Il passe le relai à un chauffeur RATP. En effet, de Chevreuse à Gare du Nord, c'est la RATP qui assure le trajet. Après, c'est SNCF. Arrivée à Gare du Nord, on entend toujours un gros "PSSSHIIIT". C'est la fréquence qui change. Elle est plus élevée pour la SNCF, donc il faut obligatoirement marquer l'arrêt.

Et puis je demande au nouveau chauffeur :

- Excusez moi Monsieur, je peux monter avec vous ?
- Non non, vous savez, il fait chaud ici.
- Je sais, j'en viens. Je peux monter alors ?
- Nan, mais je vous le déconseille parce que dehors il fait chaud et...

Et je lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase à Jean-Robert-Bernard, je me suis entassé comme une chèvre dans le premier gros wagon. Horrible. 12 stations à faire, terrible. Heureusement, tous sérrés, il y avait une bande de comiques qui sortaient des blagues non stop. Les coincés ne rigolaient pas, c'est interdit par la loi. Les autres rigolaient...
C'était un noir qui accentuait son accent africain : "Oh putèèè dis-don, on a'ive à Saint Michel, on va accueilli' des nouvelles odeu's !".

30 minutes plus tard, arrivé chez moi, laissez moi savourer la fraîcheur de la cave de la maison quelques instants...

On l'apprécie mieux quand c'est le week-end...


La soirée passe. Je ne suis pas fan de football, mais quand il s'agit de compétitions internationales, je suis. La France vient de faire match nul contre les roumains avec un score de 0 à 0.
Tout de suite je me dis: "mais voilà pourquoi yavais aucun gitan dans le RER, ils étaient tous devant la télé".

A venir, le match Italie - Pays Bas. Un match dont j'entendais des échos : "L'Italie devrait les exploser". En rentrant du sport, j'ai eu le temps de comprendre que l'Italie s'était pris deux buts en 10 minutes. Dont un par un arbitre sponsorisé par Optic 2000. Un myope presse-machin, qui voit rien à 10 mètres. Et puis le troisième, qui m'a fait arrêté pour le match depuis cet instant. J'en avais vu assez. Le soir même, j'ai reçu environ 30 messages (mon PC a planté deux fois), des messages de merde, l'Italie des bouffons, des vieux etc. Je m'en fou, vous verrez bien à la fin du passage des poules, bande de nouilles.

Mais qu'on soit d'accord, vendredi, on joue les roumains. Et les Français jouent les Pays-Bas.
Les Pays-Bas devraient retourner la France, alors que les roumains devraient rentrer dans leurs caravanes.

Les supporters de l'équipe de Roumanie cherchent une place pour se garer.
Au fond, à gauche de la dernière caravane, vous pouvez apercevoir la femme du gardien roumain.


A vendredi, nous verrons bien.

dimanche, juin 08, 2008

Creep

Et si ça, ça ne donne pas envie d'aller en concert alors...

Radiohead - Creep



Ou est Charlie ?

Ce weekend, nous avons fêté en famille le mariage de Stéfano et de Diane.
Le mariage s'est déroulé dans la vallée de Chevreuse, un endroit magnifique et calme.

Difficile de trouver plus calme.


La célébration s'est faite dans l'église d'une ville près de Chevreuse... (j'ai oublié le nom, tsss...). La messe agréablement prononcée par un curé qui était plus dans le style "comique" que les autres. Rares sont les curés qui sortent des blagues dans les discours qui précèdent l'échange des alliances.

La question cruciale pour Stéfano, par exemple :

- Stéfano, promettez vous d'aider Diane dans les moments de difficultés, de l'aimer jusqu'au dernier jour de votre vie, et de lui faire quatre enfants ?
- [Silence de 5 secondes] ... Oui... !!

Avec un curé pareil, la messe est originale. Je n'ai pas pu recueillir les pensées de Stéfano sur cette question...

C'est fait, pour le meilleur !

La population présente étant à 75% italienne, il fallait ouvrir bien grand ses oreilles... Italien, patois friûlan, mais malheureusement l'impossibilité de leur répondre dans leur langue.

Repas dans un château aux décors remarquables, avec la surprise de minuit, un feu d'artifice offert par un invité, étant artificier par passion.

Une sacré surprise pour nos mariés...

Et la soirée s'est terminée vers environ 3 heures. Une bonne musique, une bonne ambiance, et un très bon photographe, qui a pris des photos vraiment très belles.

D'ailleurs je vous laisse répondre à cette question, en commentaire de cette photo ci-dessous...


Mais... Ou est Charlie ?

samedi, juin 07, 2008

Euro 2008


Voici le ballon des vainqueurs de l'euro 2008 :


Una palla al 100% italiano


dimanche, juin 01, 2008

Bon anniversaire !

Bon anniversaire Nour et Fabien !
Mais non, personne ne l'a oublié, et il le sait bien.
C'est bien de le dire, c'est aussi bien de l'écrire.

Happy... Une bière, deux, trois, quatre, cinq...

PS : j'édite pour Fabien, c'est la période anniversaire.

JCVD Preview




Sortie le 4 juin...

Ca peut donner quelque chose d'énorme...