dimanche, novembre 23, 2008

TimeSculpture

Juste parce que c'est un travail de professionnel...


jeudi, novembre 13, 2008

Fini les études

Ca y est, c'est fini !

Fini tout ça, les devoirs à la maison, les contrôles sur table surveillés...

J'en ai fait des centaines de devoirs surveillés depuis que je suis à l'école. Toutes les choses ont une fin.

Je tire un bilan plutôt positif de toutes mes années scolaires. Les seuls vrais échecs que je tire sont les années de redoublement que j'ai passé en BTS. J'avais mes raisons et ce fût dommage. Mais deux ans de passés ont permis à certaines écoles de se lancer dans des nouvelles branches d'études.

Ainsi, j'ai pu trouvé des formations et me lancer dans ce qui me plaisait.

Après un BAC de commerce, j'ai terminé dans l'informatique, et j'ai appris la semaine dernière que j'avais mon diplôme.

Sentiment d'accomplissement...

Après le BTS, j'ai continué sur l'alternance. Je conseillerai toujours l'alternance pour ce gros "plus" que ça apporte à la fin des études. Les mentalités sont vraiment différentes entre les initiaux et les alternants. Choisissez l'alternance.


Je vais revenir tous particulièrement sur cette dernière année qui fut quand même marquante.

L'alternance change toujours les mentalités. Mais en cours, la mentalité reste celle de l'étudiant studieux mais joyeuse quand il le faut. Je ne parle pas pour moi, pas du tout... Je parle pour ceux qui étaient à mes côtés. ;)

PPA SR - 5ème année, Promo 2008


Voici l'équipe !

Dommage qu'on n'aie pas le système de tag comme sur Facebook. Non, nous n'avions pas de filles dans notre promotion, c'est juste l'équipe du secrétariat !

Trop de monde pour tous vous les décrire, mais en général déconneur, et fêtards pour certains.

Et surtout, une bande d'asiatiques, présente dans cette promo... qui représentait tout de même le quart de cette dernière !

A gauche du mec en rouge au dernier rang, vous pourrez apercevoir mon prof de Sécu-web, qui m'a joliment adressé un 5.5/20, alors que tout le monde avait 16. J'avais juste envie de dire bizarre.



C'est aussi un blog qui s'arrête pour moi. Je n'ai plus le temps d'écrire, et même d'y penser.

Je vais peut-être laisser la place à Antoine et Marc s'ils veulent reprendre pour écrire et raconter les péripéties des weekends... Pour ma part, je ne serai qu'un faible contributeur de ce blog. Ce fût quand même sympathique, et ça restera un bon souvenir, que de relire certains weekends d'une dizaine de pages... Faut dire qu'à l'époque, j'avais le temps. :)

Je repasserai quelques fois pour écrire, peut-être...



Bises !



Vincent



lundi, novembre 10, 2008

Bientôt...

Je vais bientôt arrêter d'écrire sur ce blog.
Je n'ai plus le temps.
Le soir, je rentre pour dormir,
Le weekend, je ne suis plus chez moi.

J'ai le temps d'écrire, car demain c'est férié... Ça voudrait dire que le prochain message serait pour le 31 décembre ?

Je ferai un message de fermeture car je vais démarrer un nouveau blog en collaboration avec un copain. Je vous ferai part de l'url prochainement.


Diego...

lundi, octobre 13, 2008


Un remix sympa pour démarrer la semaine...



Rihanna - Disturbia (Jay Amato Remix)


A plus tard !

mardi, octobre 07, 2008

J'en peux plus...

De regarder cette vidéo, j'en peux plus !

Sancerre, évidemment pour la connerie, ça pouvait que se passer là bas...

Je ne me lasse pas de regarder cette vidéo...


Marc qui essaie d'envoyer une fusée sur la lune grace à un lance-missile serbe.

Bon dieu... !

samedi, octobre 04, 2008

Pardonnez-moi

Une chanson que j'adore, qui n'existe pas en clip, mais que je viens de trouver en live.


Vous me montrez des tours... Plus hautes que des rêves...

mercredi, octobre 01, 2008

Le temps !!!

C'est dingue, mais je n'ai pas une seconde à moi pour écrire. Hormis celle-ci, que je me suis forcé à prendre. J'ai beaucoup de travail, c'est beaucoup moins de pauses qu'auparavant.

Ce qui me plait dans ces journées, c'est mon nouveau travail avant tout, même si je me lève à 6h00 pour rentrer chez moi à 20h30, parce que c'est motivant ! Mais aussi et surtout les MMS qui fusent à travers mon téléphone, je crois que la mode est lancée... Et je vais en diffuser quelques unes prochainement.
Antoine, qui a la particularité d'avoir attrapé le virus du comique cette année en envoie des bonnes en ce moment. Il ne m'a jamais fait rire cet âne pendant 7 ans. C'était même triste de lui parler... Et là, c'est le déluge d'ânneries ! Et ce qu'il y a de sympa, c'est qu'il n'y a pas que lui qui s'y met...

A plus tard.

vendredi, septembre 26, 2008

Bonjour, jeunes internautes.....

VinZ m'a donné la fonction de remplir ce blog avec lui, ainsi voici ce que je vous propose aujourd'hui :

J'ai juste envie de parler de 3 personnes qui tentent d'imiter le générique d'une série célèbre ....

version originale :



la vaste parodie :




Que dire de ce spectacle, sinon que ces garçons ont un bel avenir devant eux....

Respect , Robustesse !

jeudi, septembre 18, 2008

Comptine d'un autre été

Je vais passer ma soutenance dans deux heures, je stresse encore plus qu'il y a deux jours, lors de l'autre soutenance.

Je recherchais de la musique calme, je suis tombé sur un morceau que j'adore, interprété par un internaute, Laas.


Magnifique.


Ce soir, l'ambiance sera différente, enfin, j'espère :)

lundi, septembre 15, 2008

L'éléphant royal de luxe

Nantes. Il habite dans la rue centrale des nefs. Quand l’animal majestueux part en promenade, c’est une véritable architecture en mouvement qui sort d’une cathédrale d’acier. Les 49 passagers à son bord embarquent pour un étonnant voyage sur l’île de Nantes. Chaque sortie du pachyderme est un spectacle unique offert à tous.


Les plans

Les voyageurs découvrent, de l’intérieur, les engrenages et les pattes en mouvement. Ils peuvent déclencher le barrissement et contrôler certains mouvements de l’animal et devenir ainsi acteurs de la Machine. Depuis le dos de l’Eléphant, ils sont comme au 4e étage d’une maison qui se déplace, avec vue « imprenable » sur les quais de la Loire. Dans cet équipage, hors du temps, ils s’inventent un autre voyage et accostent dans la ville de Jules Verne.

Source : Les machines de l'île



Un monstre !


Cet éléphant de 45 tonnes, de 12 mètres de haut et de huit 8 mètres de large n'est pas la seule bête mécanique du Parc. Un crabe géant est déjà sur pattes, alors que d'autres créations sont en cours de construction. Toutes ces créatures sont fabriquées à partir d'éléments recyclés, ou obsolètes.

Et pourtant, je suis sur que peu de monde connaissait leur existence...

dimanche, septembre 14, 2008

Soirée improvisation

Antoine, Marc, et moi devions sommes parti voir un spectacle d'improvisation sur Paris.
La dernière fois que j'y avais été avec Mathieu, j'en avais gardé un bon souvenir. Sans compter les vidéos du net que j'ai vu après, ça motivait un peu plus. Bon, à part un faux plan d'une personne qui annule à 30 minutes sans se justifier par SMS, la soirée était amusante, donc très bien en général.

Au théâtre Pixel, Paris 18ème, se tient un petit groupe de 5 comédiens d'une trentaine d'années environ, qui s'appelle "Zapping".
Le principe : dès que le billet d'entrée est payé, vous devez écrire un mot ou un groupe de mots, n'importe quoi, "courgette" ou "mouette", ou encore "Mulder et Scully" sur un bulletin. Ensuite, vous devez sélectionner un thème : émission, film, ou série. C'est donc un groupe de 4 comédiens que nous aurons sur scène (le cinquième présente et narre la scène), qui sont plutôt bien informés des films, émissions, et séries du moment. Sans aucun doutes, ça se discute, Zone interdite, Urgences, Prison Break... en passant par la pub, ce groupe est capable de vous faire votre soirée en prenant la place de votre bon vieux Télé-Poche. Ces bulletins sont mis dans des urnes, et seront tirés au hasard, et improvisé ensuite improvisés.

Une petite salle, certes, trente personnes. Mais l'ambiance est au rendez-vous, puisque le public est invité dès le début à faire connaissance avec ses voisins / voisines...


Et c'est parti pour un show de 75 minutes ! (contrairement aux 90 minutes annoncées sur Agendaspectacle) Ainsi, on s'est retrouvé avec la culture du choux dans un film aventurier, une publicité sur le dentifrice à la croûte de Tome, ou encore un film érotique avec Wall-E & Eve...
Le meilleur pour moi a été l'improvisation sur je ne sais plus quel sujet, adapté façon film d'horreur... Très drôle, très réussi ! Sur scène, deux garçons, deux filles. Même si je dois avouer que les garçons étaient nettement plus actifs et improvisateur, ce soir là.

Par chance, et je trouve ça vraiment génial, les meilleurs extraits sont diffusés sur Dailymotion.
Voici donc une partie du spectacle d'improvisation auquel nous avons assisté...


Au moment ou l'exorciseur fait sortir les frères
du possédé, moment énorme...


Le petit blond avec ses cheveux en pétard était pour moi le plus remarquable. Très bonne improvisation aussi de son collègue blond, (ya que des blonds, c'est dingue...) qui lui aussi avait de bonnes idées qui fusaient. Une équipe qui fait sourire dans sa globalité.
Cependant, petite déception, lorsqu'à la fin des 75 minutes, aucun de nos billets furent tirés... Nous trois qui visions plutôt les séries, n'avions pas eu de chance. Disons que le présentateur tirait anormalement plus de bulletins dans la pioche "émissions". Ce que je regrette aussi, c'est que le sujet de la tecktonik est toujours présent. Encore et toujours la tektonik, on en voit de partout, et même dans les spectacles... Quelqu'un avait écrit sur son bulletin "les girafes dansent la tektonik", pas de choix, faut improviser dessus. Dommage !

On en garde un bon souvenir. De retour dans le métro vers 23h00, quand un mendiant rentre dans le train avec un arsenal. Habitués, on n'y prête pas vraiment attention. Puis on s'aperçoit que son sac est plein de poupée qu'il étale près de son synthétiseur, le tout par terre. Et là, il commence à faire son show de comédie, incroyable, mais les gens étaient debout pour lui, et autour de lui, en train de rire et de l'acclamer !


Dommage que la qualité du son soit pourrie...
Téléphone cellulaire oblige.

Sur cette vidéo, il chante "à cause des garçons", en compagnie de ses poupées... Remarquable, car lui, il était tout seul...

Pour terminer, on remettra ça pour le zapping, si des motivés veulent se faire connaître, ils sont les bienvenus pour venir avec nous la prochaine fois !
Je laisse la bande-annonce du spectacle et l'interview :



Bande annonce de Zapping

jeudi, septembre 11, 2008

1, 2, 3, Soleil !

Je ne résiste pas à l'envie de mettre cette vidéo sur ce blog, probablement l'une des meilleures que j'ai vu durant cette année 2008.


Je veux le même !


J'adore.

mercredi, septembre 10, 2008

Je suis revenu...


Il est clair que quelques semaines se sont passées depuis le dernier billet que j'ai écrit sur ce blog.

Une fois de plus, j'ai été pris par le temps. Alors qu'une fin d'année scolaire agitée se préparait, les échos de retards sur la rente du mémoire de recherche et du projet me stressaient de plus en plus.
Comment travailler correctement chez soi, quand on travaille en alternance, et qu'il faut plus d'1h30 de route pour aller travailler ?
J'ai eu de la chance d'avoir les permissions requises pour travailler sur place, quelques matinées ou après-midi. La pression montait de plus en plus, quand je savais qu'il fallait tout rendre fin Août, et que la dernière semaine, j'ai du confié mon travail à l'aveuglette à mes collègues, car je partais à l'étranger.

Au final, tout est rendu. Je m'aperçois de quelques petites bourdes, mais le plus gros est passé. Reste à préparer les deux oraux, ce qui n'est pas encore gagné. Alors avec un battement entre deux contrats, je suis sensé être en vacances. Malgré cela, la blague est que je me retrouve à bosser encore tous les jours (sauf en ce moment, pour contredire les mauvaises langues !).

Cette masse de travail ne m'a pas empêché d'éventuelles sorties par ici et par là.
Et en même temps de faire connaissance avec d'autres personnes, et de revoir mes amis.

Et puis est arrivée la dernière semaine, celle ou l'étranger nous attendait, Antoine, Marc et moi. La Croatie, sur l'île de Hvar.
Déjà, je ne sais pas pourquoi, je pensais que les croates faisaient partie de la zone Euro... Heureusement qu'il est toujours possible de changer sa monnaie sur place, et généralement à des tarifs avantageux comparés à ceux que nous avons sur Paris. On peut donc dire que pour 1 Euro, nous récupérons 7 Kunas. C'est très correct. La vie est donc statistiquement 7 fois moins cher.


La Croatie

En face de l'Italie, l'ïle de Hvar était notre destination.

En deux mots : à refaire.


Bienvenue sur l'île de Hvar. Vous les Français, vous dîtes l'île de Achvar, mais nous en Croatie, on dit l'Île de Hrrrouaarr...


Une destination fort sympathique, avec des points forts et des vilains points faibles, comment partout, que je m'efforcerai de détailler un peu plus tard.

Un départ agité, trois potes se retrouvent pour un décollage sur Roissy CDG, armés d'un appareil photo et d'une caméra (on remercie son propriétaire pour ce prêt si précieux...)

Pour démarrer, une petite blague de démarrage oblige avec la douane qui finit par nous dire "C'est un comique vot' pote là", en parlant d'Antoine. On a tenté de le larguer dans une file, il nous a retrouvé. Ces dernières vacances, je dois dire qu'Antoine est à l'origine de beaucoup de conneries, ce qui m'a étonné. Antoine, qui enchaîne juste après "Venez, on va dans la zone Tutti frutti, voir les prix". Marc qui n'en peut plus, car Antoine était sérieux, ce n'était pas une blague. C'était bien Tutti Frutti. Passons !

Dans une salle d'embarquement, nous avons deux gays, sûrement surexcité de partir en amoureux je ne sais où, qui, on le voyait, se moquait de tout le monde. C'est connu, nombre de gays passent leur temps à se moquer d'autrui, un complexe peut-être ? Je ne rentrerai pas dans la question, mais rien que d'écouter l'happy Hour sur RadioFG (en voiture je peux me permettre), les animateurs gays ne font que se moquer des auditeurs, méchamment en plus.
Forcément, au bout d'un moment, on arrive dans le collimateur de nos deux compères, que nous avons surnommé Michou & Michou. Je me suis forcé à ramasser un savon au pied de mes deux potes (mais à distance des Michou), puisque c'était l'heure de la moquerie. Les rires fusent, et ça parle dans le dos, "oh punaise ces deux là, c'est une blague ou quoi !".

Décollage pour la Croatie, ces deux corniauds montent avec nous, avec le même type de billet All-Inclusive que nous. Ce qui veut donc dire que ce seront nos voisins dans l'hôtel sur place ? Ah ouais, bon très bien, on va bien voir... (Ils connaissent pas Raoul)

Le vol s'est bien déroulé, l'avion s'est posé, et les passagers ont applaudi. Pas étonnant avec les crashs du moment. On ressent tout de suite la chaleur. C'est agressif. Marc était limite en costard, il pensait que la Croatie, c'était au nord de la Suède.

Après des heures de car et de bateau, on arrive devant l'hôtel... Voyage qui se résume d'abord à 6 heures de route, mais pour le moment, des paysages sympathiques. La Croatie, ça a l'air sympathique... Nous sommes trois, on nous remet deux clés... Deux personnes vont devoir dormir dans le même lit. J'ai tenté d'expliquer à mes camarades que la nuit, il se peut que je lâche des gros kicks, je ronfle, je regarde la télé, je me fais un karaoké. L'horreur !

Bref, j'ai réussi à avoir la chambre tout seul ! Toutes les chambres ne se situent pas dans un hôtel, mais dans des petites maisons, sous des pins. En gros, plein de petites maisons ou des petits appartements, dans une grande pente, qui nous conduit à la mer Adriatique. "Vous aurez les logements Cancer". On fume pas, mais on s'y rend. Les logements sont répartis dans des endroits du campus, marqués sous le nom de signes zodiacals.


Bienvenue...


C'est un hôtel deux étoiles. En France, je pense que ça aurait été l'équivalent. Peut-être moins. Ça se discute, sans aucun doute. Dans la chambre, c'est du très simple, c'est le Formule 1 de l'autoroute. Un lit, une télé, une salle de bain. Tout le monde s'installe, et on fonce vers la cantine... C'est pas le tout, mais on a faim !

On descend les marches qui mènent à la cantine, et on se rend compte que l'on va manger avec une vue imprenable sur la mer. Magnifique. Au même instant, on réalise qu'on est les seuls célibataires du voyage, et que toutes les autres personnes sont des couples, avec quelques familles. Des couples, qui voient ça le soir même en arrivant, on ne pouvait faire plus romantique. Tout le monde en Teeshirt, température ambiante à 33°, pas un seul coup de froid. Un agréable constant.


La vue de tous les matins, le vide, et le calme.


Le vide, et le calme. Sur cette île, très peu de voitures. Des scooters quelques fois. Pas de casques, ça n'existe pas là bas. Petite balade dans le village de Jelsa, endroit sympathique et un touristique. L'endroit est toujours très romantique... (J'ai tenté de prendre Antoine par la main, ça n'a pas marché).

Et puis, un peu fatigué du voyage, première nuit dans les apparttements. Nuit assez bruyante, car les murs sont assez fins. En fait, je pense qu'ils sont en cartons, j'ai pas tenté de taper dessus. Je me souviens juste que des fois dans la semaine, la nuit devient soudainement agitée...

On entend vraiment tout. Je peux pas trop vous faire un dessin, mais souvent, on entendait des gens qui soufflaient assez fort de chez eux, avec quelques bruits de grincements. Je me dis que c'est la faute de l'environnement local, le paysage et ce côté romantique, qui m'a fait faire ces deux premières nuits blanches. Nom de dieu !

En général, les matins, on se levait vers 8h00. Petit déjeuner, et direction la plage. Des plages relativement vides, très peu de touristes, surtout le matin. C'était vraiment tranquille et calme. C'est là qu'on voit que la Croatie n'est pas une destination très convoitée depuis des années. Mais ceci dit, elle est enclin à le devenir très vite ! Les plages étaient couvertes de cailloux pour ce pays. Donc on ne court pas, et puis si t'es pas content, c'est pareil !

L'eau est claire, on peut apercevoir les poissons à travers. Des petits poissons qu'on pourrait presque toucher... Mais qui sont trop agiles pour se laisser prendre.

Température ambiante à 33°, température de l'eau à 25°... Que du bonheur.


Chaque matin, j'embrasse l'eau, ça me pince le cœur...


Elle est pas belle la vie ?

Une fois notre bronzette terminée, vers 12h00, excursion en ville, demi-pension oblige.

Disons que c'était l'unique fois ou on mangeait correctement. La bouffe de l'hôtel était vraiment immonde. Ils n'avaient pas vraiment le sens de la cuisine, mais plutôt du chiffre. Je les comprends un peu, mais rien que pour ce qu'on mangeait, je leur enlève toutes les étoiles... C'était une sorte de self-service, avec divers entrées, plats et desserts. Mais bon, sans blagues, les fruits n'étaient pas présentables, le pain, c'était du "vite-fait", et le reste, j'hésitais à y toucher... Sauf les pâtes. La viande, j'ai préféré éviter... Bref, j'ai quand même perdu presque trois kilos. C'était pas plus mal, comme ça, je peux me permettre de manger à mon retour !

Sur l'île de Hvar, le soleil ne tape quasiment pas. Tu peux te permettre d'être torse nu (garçon et fille), les coups de soleil se font plutôt rares. Je n'en ai eu qu'un seul, grâce à la bienveillance et au côté précieux de mon masseur privé : Marc.

Parlons maintenant de la population locale. Hormis le fait que la personne qui se chargeait de notre accueil, une croate bilingue qui parlait très bien le français, était une fille vraiment très charmante et sympathique, comment sont les croates !

Et bien c'est assez surprenant. Je m'attendais à voir une population très accueillante. J'ai été surpris au premier contact. L'office du tourisme, pour demander des prospectus. Une hôtesse qui souffle, l'impression de déranger... Des impressions qui commencent à se vérifier un peu trop souvent. C'est un mauvais point pour la Croatie. Les croates n'ont pas encore le sens du tourisme. Mais dans 10 ans, les prix seront quasi les mêmes qu'en France à mon avis. D'ici qu'ils rentrent dans la zone Euro, et le tour est joué.

En ce qui concerne les filles croates... On ne parle plus de Zone euro, ni même de Zone Interdite sur M6, mais de Zone d'amazones, tellement les filles là bas sont belles. J'ai envie de dire que 90% des filles là bas sont vraiment ravissantes. C'est hallucinant. Il est dit qu'il y a énormément plus de filles là bas que de garçons. En effet, il y a dix ans, la Croatie était en guerre, avec la Serbie, le Monténégro, la Bosnie... Bref, l'ancienne Yougoslavie. Beaucoup d'hommes sont morts, et il est dit que pour un homme, il y a 6 filles. Beaucoup de filles savent qu'elles sont belles, peut être sont t'elles attirées par le "pognon" comme beaucoup disent, mais pas sur notre île en tout cas. La bas, seuls les touristes étaient abordables à la discussion. Les Croates étant trop antipathique.

Je me rappelle d'un soir, une dame française venait demander au barman de l'hôtel un verre de vin.

- Hello, what do you have for drink ?

- WHAT ?

- A drink of vine...


L'agression du barman était énorme. Enfin, ces choses relèvent de leur manque d'expérience au niveau touristique, même si les lieux sont superbes et tranquilles, pour le moment.


Un soir, très tard, sur la plage...

Des soirées "internes" agréables... On a pu entendre des chats hurler sur la plage, à l'heure actuelle, ça reste un mystère qui n'est toujours pas élucidé. D'ailleurs, nous venons de mettre Mulder et Scully sur l'affaire.

En ce qui concerne les voyages internes, compris par notre agence. Nous avions choisi Dubrovnik, une ville située dans le sud de la Croatie. Nous sommes prévenus, le voyage sera long. Matin très difficile, un petit six heures qui nous changent de nos habitudes, et un voyage qui dure, mais qui dure... Cinq heures aller, cinq heures retour, pour résumer. Le tout en passant par la Bosnie-Herzégovine. Voyage néanmoins agréable (à l'aller), car nous avions la chance de voyager avec un guide qu'on appelait Ramos, et qui était vraiment amusant à écouter. Ses petites fautes attiraient les attentions des touristes dans le car :

"Comme vous pouvez le constater, hein, à gauche, donc, ce sont des cultures, en Croatie, hein, il y a beaucoup de cultures, et donc, sur ces cultures, on cultive"
Petit passage en Bosnie, à la frontière. J'avais un billet de 100 kunas dans le portefeuille, l'équivalent de 15 euros en France. Avec 100 kunas, en Bosnie, j'aurais pu acheter deux frigidaires complets de canettes de Fanta et autres soda. Les prix sont vraiment bas. Et malheureusement pour ce pays, les touristes ne sont pas près de venir visiter le coin. Les régions sont assez désertiques, et après la division de la Yougoslavie après la guerre, la Croatie a pris les côtes, sa principale activité touristiques. Les bosniaques n'ont hélas que 20 km de côte, plutôt dramatique pour eux. J'ajoute que Marc et Antoine ont repéré une batterie antimissiles, sur le haut d'une colline... En tout cas, beaucoup de bâtiments détruits, et non reconstruits.

Nous voici à Dubrovnik, une sorte de forteresse énorme, ou les habitants de la région ont décidé de construire des habitations à l'intérieur, tellement l'espace est disponible. Cette forteresse s'est transformée en ville. Une ville énormément touristique. On aurait du mal à respirer tellement il y en a. Des Américains comme toujours, les mêmes que d'habitude, avec des casquettes arborant le drapeau des USA, ou des chapeaux de cowboys. On dirait des Georges Bush senior.



Une ville très touristique, avec des américains à casquette sur
la gauche. On les reconnaît assez facilement.


Nous avons visité deux musées, ainsi que les remparts de la ville, qui nous offraient une superbe vue des alentours et des îles voisines, puisque la Croatie est un pays qui en compte un peu plus de 60. La balade sur les remparts ne dure pas 5 minutes, car cela fait tout de même 2 kilomètres de long.


20 Kunas pour visiter les remparts, 50 pour Marc
et Antoine. C'est ça d'être étudiant...


Une ville vraiment jolie, qui nécessaire une bouteille d'eau fraîche au fond du sac. Une chaleur à crever, c'en est fatiguant !
Inutile de préciser que le soir, on a tous très bien dormi. Je n'ai même pas entendu mes voisins, pour vous dire, j'ai loupé un épisode.

Une autre visite que nous avons faîtes, c'est la ville de Hvar, qui porte le nom de l'île. C'est en quelque sorte le Saint Tropez de France. Les prix sont légèrement plus cher, mais ça reste moins cher que chez nous. Les paysages sont agréables, c'est toujours assez sec, arides. C'est notre ami Gilles, de la Jet-Set, qui commence à faire son arrivée au sein de la ville. Gilles est arrivé avec son Yatch de 74 mètres de long sur le port. Il a mis une heure environ pour se garer, et a, au passage, percuté quelques petits bateaux de tarlouze, si je peux me permettre, d'une longueur de 6 à 8 mètres, mais même, c'était tellement ridicule à côté...


Huge... Legendary... AWESOME !


Le Yatch de gauche était convoité par les touristes, mais quand le gros est arrivé... Le millionnaire dans le petit Yatch (de 25 mètres tout de même), est rentré dans sa cabine, car c'est la honte. Après quelques recherches, ce Yatch, l'un des plus luxueux sur le marché, s'appelle le Silver. Il se loue pour 500 000$/week en saison pleine, avec un équipage de 10 personnes. Le plus gros Yatch de tous les temps est tenu par un multi-milliardaire arabe, et mesure 160 mètres, soit, plus du double. Après les goûts et les couleurs...

Revenons à notre ville de Hvar. Une ville aux rues très étroites, et généralement comblée par des escaliers, qu'on ne pourrait compter, tellement il y en a !
Sans oublier la belle vue que l'on peut s'offrir "gratuitement" en haut de cette ville : superbe.

Puis, de retour en car. En dormant à moitié sur la route, enfin bon. Et puis l'avant dernier jour, et puis un petit coup de baignade, quand même, on est pas venu pour rien !


Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai bu l'eau tellement j'étais amoureux, mais...


Toutes les choses ont une fin, c'est ainsi qu'est arrivé notre dernier soirée. Tenue un peu plus correcte que d'habitude oblige... Jelsa est une belle ville la nuit. La coutume veut qu'on verse 10% de ce que l'on paie dans les restaurants comme pourboire. 20% si la vendeuse est charmante. (Dans 90% des cas, il aurait fallu mettre 20%, mais le français étant un gros rat à la base, il se force à mettre 10%). Les glaces sont très bonnes. Antoine et Marc le savent, ça me rappelle les sublimes glaces en Italie, réputées pour être les meilleures du monde... Pour 100 Kunas, on peut manger une glace qui comprend une dizaine de boules, avec des fruits sur le dessus, qu'il est impossible de manger ça en dessert, sauf si tu es descendant direct de Carlos.


Jelsa de nuit, magnifique !

Avec pour le dernier soir, un petit concert de musique classique, agréable. Pour ce dernier soir, les croates célébraient la fête du vin. Du vin dégueulasse parait-il, je n'en ai pas goûté. Notre hôtesse d'accueil nous l'a déconseillé ! Toujours est t'il que certains croates ouvraient des vaches en direct Live pour les faire rôtir, j'ai trouvé ça charmant. Antoine a trouvé ça excitant, alors que Marc fut écœuré, et tenta tant bien que mal de vomir dans son porte-monnaie.
Les plus belles choses ont une fin. Notre cagnotte à Kunas est quasi-épuisée, il est l'heure de rentrer, demain le réveil sera difficile. On a tout de même fait connaissance de deux françaises sympathiques d'ïle de France, ainsi que de deux anglais, qui nous invitent dès que possible sur Londres. Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd vous savez... Ca me donnera l'occasion de poser, enfin, le pied sur cette île.

Le retour en France était terrible et pas très bien vécu en général. Antoine et Marc n'ont pas eu la chance de pouvoir se reposer longtemps, puisque le lundi, c'était le retour à la normale, le travail. Moi qui suis encore en vacances, j'avais énormément de mal à m'en remettre, mais aussi à manger. A force de faire régime là bas, je ne pouvais plus rien avaler en France !
Un retour donc gris, désagréable, sans brise, sans humeur, sans sourire, sans rien.

L'Île de Hvar, qui rescence près de 2 800 heures de soleil par an, est loin de se faire oublier. Je pense qu'il faudra la refaire. On a regretté quand même l'absence de Chris et Nico, qui auraient pu multiplier le bordel par deux ou trois.


Notre ami imaginaire...


A trois, on a passé de bonnes vacances. D'ailleurs, je tiens à remercier Antoine, pour m'avoir dépanner d'un dentifrice et d'un gel douche, et Marc, pour son synthol, quand que je me suis gauffré lamentablement sur une marche... (un gnon qui a mis plus d'une semaine à partir).
Autre chose, étant donné qu'il y avait 4 couples gays, dont deux plutôt sympathiques, je n'ai pas compris une chose, et si on pouvait m'expliquer, ce serait sympa. Deux lesbiennes qu'on avait croisé le premier soir en train de se ruiner mutuellement sur le trottoir (je vous dis, c'était trop romantique, le premier jour était très bruyant partout dans le campus), en fin de voyage, l'une d'entre elle m'a regardé, et a dit "Choucroute ?!", si quelqu'un connaît cette expression, ce serait sympa de la détailler.
Une dernière chose, je ne sais plus qui de Marc ou d'Antoine qui se douchait, a grillé l'autre en train de regarder quelque chose d'étrange à la télé, très tard le soir, j'ai toujours voulu en savoir plus, je n'ai pas pu...

Sinon, quoi de neuf depuis ce triste retour ? J'ai revu quelques copains et copines. Alors que certains reviennent de Croatie ou d'Australie, d'autres s'en vont aux Etats Unis, à San Diego ou Las Vegas. Pour ma part, j'ai repris la préparation de mon mémoire et de mon projet professionnel. Vraiment du mal à se remettre dans le bain, c'est terrible... Pour deux oraux stressant la semaine prochaine.


A plus tard !

mardi, septembre 09, 2008

Je reviens bientôt...

Beaucoup de travail m'empêchent même de créer un billet.
Je suis revenu de Croatie, et je n'ai rien écrit. D'autres choses se sont déroulées que je n'ai eu le temps de détailler.

Demain, je vais essayer.

Beaucoup de travail... (et je suis en vacances, c'est le comble)


Schuss :)


En attendant, un clip vraiment bidon, pour une track canon :


Un clip vraiment naze, dommage.

jeudi, août 21, 2008

Le livre de la vie.



"Le livre de la vie
est le livre suprême
qu'on ne peut ni fermer
ni ouvrir à son choix.
On voudrait revenir
à la page ou l'on aime
et la page ou l'on meurt
est déjà sous nos doigts."


Arno cost & The Henchmen - Women



Arno Cost & The Henchmen - Women (Mario Ochoa Remix)


mercredi, août 20, 2008

François l'Embrouille - Auto Ecole

Parce que j'en peux plus,
Parce que j'ai déjà regardé cette vidéo 4 fois,
Parce qu'Antoine passe son permis et qu'avec François l'Embrouille il l'aurait plus facilement,
Parce que François l'Embrouille est belge, et qu'il est une star incontestablement montante,

Voici cette vidéo...

François l'Embrouille donne des cours de conduite...


Bon visionnage...

dimanche, août 17, 2008

ZipDog Prod. - Roman Photos


Je ne sais pas vraiment comment aborder ce sujet...
Disons qu'un soir, du monde est passé chez moi et que... un appareil photo traînait et que... il a décidé de faire des photos tout seul.

Le résultat est intéressant, même si ce n'est qu'un brouillon. Pas de pied sous l'appareil photo, ce qui laisse apparaître quelques écarts et décalages au niveau de l'image. Rien de grave, on se dit que la prochaine sera meilleure !

Mine de rien, pour un truc aussi simple que ça, les aspects de synchronisation et de travail de fond ont réclamé plus de 10 heures de travail.

Marc, Antoine, et Vincent, ci-dessous :

Une vidéo ZipDog prod...


La prochaine s'il y en a une, sera vraiment mieux, et son style sera peut-être vidéo.
Bon visionnage !

mardi, août 12, 2008

Ciné-cinéma : tchi-tcha.

Hier soir, petite sortie cinéma pour décompresser du boulot.
Un film qui fait parler de lui, réalisé par les artistes de Pixar, auteurs des films Ratatouille, Nemo, et tout le reste...

Un film qui a su se faire apprécier, rien qu'à voir les 600 critiques parfaites sur allociné. Il fallait que j'aille le voir, je cite : Wall-E !

Voici tout d'abord la bande annonce :

Wall-E

J'ai trouvé ce film très mignon. Certes, les paroles ne sont pas nombreuses, mais c'est une sorte de critique (que j'approuve), du futur de l'être humain. L'être humain est je pense condamné à être assisté. Le contexte dans le film est différent, mais au fond, on se rapproche de la réalité. L'homme n'est pas fait pour travailler. Je vous laisse réfléchir, qui est le philosophe qui a dit ça...

Un film sinon aux graphismes exceptionnels. Surtout le robot fait un tour dans l'espace, c'est magnifique. C'est un film pour tous les âges. Les enfants seront ravis, c'est sûr, mais ceci dit, les Walt Disney, tout le monde peut aller les voir... Je vous le recommande !

dimanche, août 10, 2008

Petite journée à la campagne


Songeons, dans l'Oise.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu mon grand-père. Trop longtemps.
Avec le boulot, et ci et ça, je n'ai plus vraiment le temps de voir mes proches, surtout les anciens, et c'est là l'erreur. C'est pour ça que j'ai été voir tous les anciens cette semaine.

Et ce dimanche, c'était donc dans l'Oise, voir mon grand père, du côté maternel. Ça faisait un moment qu'il ne m'avait pas vu, et ça fait plaisir.

J'ai même pu goûter au silence total et complet... Mon grand père vit dans une maison de retraite depuis quelques années. On va le retrouver pour déjeuner avec lui quelques fois. Et j'en profite souvent pour me balader seul dans la forêt ou au bord du lac qui avoisine ce château. Tout cela est évidemment magnifique.


L'air pur que je respire me fait oublier que le temps se gâte...


Ces paysages nous viennent du village de Senantes (60). Probablement le village ou j'ai passé les meilleures vacances de ma vie. Des séries de 6 semaines, la campagne, les gamins du coin, du petit matin, jusqu'au coucher du soleil... C'était interminable, et on ne voulait pas que ça se termine. Rien que d'y penser, je n'ai qu'une envie, c'est de retourner en arrière.

Les terres se reposent elles aussi.

L'ambiance dans cette maison de retraite est assez spéciale. On sait très bien que les gens sont là bas pour finir leur vie. Mon grand père possède toute sa tête, et quand on voit les personnes âgées qui séjournent dans ce château, on se rend compte que c'est ici que la vie se termine.

J'ai du me rendre en bibliothèque pour travailler au silence. Quand je dis silence, c'était limite intriguant, mais au fond agréable. Dans ma ville 24/7, le silence n'existe pas, même la nuit. Les avions, le train, les voitures, les voisins. Tout le temps. Et là, ces instants de silences... On aurait même l'impression que ce silence nous perce les oreilles. Mais au final, ça ne nous dérange pas, c'est tellement rare...

De retour dans les grandes pièces de la maison de retraite, ou je me mélange avec les anciens... Je me rend compte que chez beaucoup de personnes âgées, la folie l'emporte sur la raison, c'est triste, mais c'est comme ça.
J'ai connu de tout depuis que je vais rendre visite à mon grand père dans cette maison.
Une mamie qui n'arrêtait pas de dire "Mademoiselle ?" à tout le monde. Comme dans une pub qu'on a pu apercevoir sur nos écrans de télévision. Ou alors une ancienne bonne sœur, partie rejoindre l'autre monde il y a quelques années, qui remerciait tout le monde par sa gentillesse. Même si la personne qu'elle remerciait était méchante... Il y a quelques Tati Danièle dans ce château. Quand on est âgé, on ne se rend plus vraiment compte de ce que l'on fait et de ce que l'on dit. Devant moi, je me rappelle d'une vieille femme qu'on aurait pu appeler "peste", qui embêtait la bonne sœur, de cette façon.

- Pousse toi, vieille peau, et donne moi ton gâteau, t'en n'as pas b'soin !
- Oh Madame, que vous êtes gentille !

Ces deux dames sont parties. J'allais oublier celle que l'on appelait Schumacher. Une vieille femme qui marchait à l'allure assez rapide. En fait, elle marchait tout le temps. On la voyait dans les couloirs, elle nous doublait. Je me rappelle que pour rire, je la suivais, en faisant les bruitages d'une formule 1, je tentais de la doubler, enfin, c'était il y a un moment.

Puis un jour, j'ai appris que cette femme était sortie du château en échappant aux regards vigilants des aides soignantes. Elle a marché rapidement dans la forêt, puis a fait le tour du lac. Puis, elle a été retrouvé noyée dans le lac. Allez savoir si elle pensait que ses charentaises faisaient aéroglisseurs. Personne ne le saura.

Aujourd'hui, c'était assez spécial. Mais j'ai filmé la scène.

Pour toujours, tous les jouurrrrss...


Je travaillais sur mon mémoire de recherche dans la bibliothèque du château. J'étais à pas mal de pièces de la salle principales. Assez loin, pour que quelqu'un vienne, il fallait un peu marcher. Quand j'entends quelqu'un au loin "Pour toujours, tous les jouurrss... mmmmhhhh mmmhhhh Tous les jours mmmhhh". Et cette personne qui s'approchait, puis qui me regarda dans les yeux. Droit dans les yeux ! Bon allez, je prend mes affaires et je me taille. Ça craint ici !
Cette dame est une bonne sœur qui récite des vers de la bible. Elle a perdu la tête...
Enfin, cette vidéo est une plaisanterie, on en rigole, mais tout le monde prend soin d'elle là bas.

Pour terminer cette journée, un petit retour sur Senantes, ou je suis allé voir mes cousins adorés, David et Nicolas. Et leur parents, forcément... Peut être huit bonnes années que je ne les avais pas vu. Ça choque, les poils qui poussent sur le torse, c'est quoi ce binz ?

Une journée qui nous coupe du monde urbain, une journée qui m'a finalement fait le plus grand bien. J'avais vraiment besoin de quelque chose de calme.

jeudi, août 07, 2008

Le temps...


Il me faut du temps...
Je n'ai pas pas eu le temps d'écrire mes avis sur Hancook, et X-Files Renegeration que j'ai vu au cinéma.
Même pas eu le temps de dire qu'Hancook, c'était bien, mais sans plus, et qu'X-Files, étant fan de la série, était une merde cuite. Un truc immonde, ennuyant. Et ceux qui ne regardaient pas X-Files pour eux, ça doit être terrible, ils n'ont rien compris.


Je file au boulot, pas le temps d'écrire plus !


A plus tard.

vendredi, août 01, 2008

Robyn - With Every Heartbeat


J'adore ce morceau. Il date de l'année dernière, je suis tombé sur le clip par hasard.

Robyn - With Every Heartbeat (Dave Spoon Remix)



Dave Spoon est un excellent DJ anglais, auteur de quelques hits en France et en Europe.
Cette vidéo n'est en fait que l'originale, adaptée pour le remix par un fan.

dimanche, juillet 27, 2008

Le fameux weekend de Sancerre

Sancerre, la ville des bons vins. Je ne suis qu'un petit amateur, et pourtant, le Sancerre a du goût !
Par la même occasion, je vous conseille les Sancerre de chez "Millet". Un grand cru...

Sancerre ? Mais c'est ou !


Agrandir le plan
Te casse pas les fesses, c'est juste là...



Un weekend mi-juillet assez grandiose, qui nous fait presque oublier ce qu'il se passe à coté, dans notre vie quotidienne. Ce petit weekend de deux jours, deux nuits, était tellement bien que je pourrais le classer parmi les dossiers vacances d'une semaine. Je préférerai presque passer plusieurs weekend comme ça, que de passer des vacances d'une à deux semaines.

Départ vendredi soir 20h00. Ça va nous faire arriver à 22h00 en roulant bien... Marc ne veut pas trop me laisser le volant, je roulerai trop vite... Bon, ok, t'excite pas, c'est bon...

Une fois arrivé dans l'allée de chez Christophe, ça nous donne :

Vendredi soir !

Ya du monde sur place déjà, on est pas arrivé les premiers ! Les deux Nathalie, Christophe & Nico, et bien sur Élodie, la fille qui fait les gâteaux... Le barbecue chauffait déjà. Bon, il est 22h00 quand même, ça paraissait logique. A peine arrivé, ça charrie dejà. Ca fuse. Nom de dieu, les vannes, c'est Christophe qui prend cher.
On était là pour passer un weekend de folie, alors autant commencer en chantant... Je les ai saoulé pour qu'on aille faire un karaoké, en contrepartie, je suis le cap'tain de soirée... "T'es lourd Vinz, demain on a une grosse journée..."
Avec une heure de route, on arrive dans la ville de Bourges aux alentours de minuit.

Une sorte de BAR-billard. Allons, rentrons. Quelques jeunes à l'allure de la campagne (la mode de Paris d'il y a deux ans, le temps qu'elle traverse les champs). Bon, quelques racailles, ce qui m'a étonné aussi. Et des vieux beaufs, gros bras marcel, cheveux rasés... Des cakes, mais bon, on les apprécie, chacun son style...

Une ambiance sympathique à l'intérieur. On croise d'ailleurs par la même occasion deux copines de Christophe, Céline & Cathy. Aussi délirantes que lui d'ailleurs, on voit tout de suite qu'on est pas à Paris. La mentalité est vraiment différente.
A peine assis, Christophe me chauffe pour aller chanter. Chanter quoi ? C'est parti...
Mais là, je reçois un SMS...



Mais pourquoi il m'envoie ça à cette heure ce nanard ?


Bon, la blague, je la connaissais, elle vient de moi... Quoi faut avoir honte ? La preuve, elle se diffuse par SMS ! Maintenant, faut comprendre le contexte. Revenons à notre nanard. Bon, j'ai pas trop le temps de répondre, on verra plus tard... Et là, je me retourne pour regarder qui étaient les gens qui nous entouraient. Nom de dieu, Fabien était assis à une table avec une dizaine de ses amis ! Ce type est dans ma promotion à Paris. Le monde est petit ! "Naaaaaaaaannn !!! Qu'est ce que tu fous là !". Ce mecton habite le coin en fait. Dans cette ville même, j'y avais pas pensé. C'est énorme. Alors je présente ma troupe, et il me présente à la sienne. C'est une soirée qui commence plutôt bien...
De retour vers le micro, en compagnie de Fabien et de Christophe, le propriétaire du BAR nous dit que le karaoké est annulé ce soir...

Il me fait une blague Jacky ?


- Pas de ça chez nous, vous avez un micro, pas besoin d'écran et de paroles pour chanter...
- Vous voulez le micro pour chanter ? Allez y, mais je suis pas responsable.
- Ok...

Et là, c'est Christophe, de Sancerre, paysan dans l'âme, ne cesserai-je de répéter, qui s'empare du micro... Il y avait un fond de musique banal, je m'attendais à chanter du Gilbert Montagné, quand Christophe se met à chanter une chanson paillarde. L'enfoiré, il démarre plutôt fort. Je ne préfère pas mettre les paroles sur le blog, ne m'en voulez pas.

Toutes les tables se retournent pour écouter Christophe parler de sa zigounette au micro. Je m'attendais à une réaction parisienne "quel bouffon". Finalement, tous les gens étaient mort de rire. Amusant ! Ne connaissant pas trop les paroles, j'ai préféré applaudir pour mettre le tempo.
Ah oui, j'oubliais. N'étant pas du coin, nous autre parisiens, Antoine, Marc et moi, nous permettons de faire ce qu'il nous plaît à tout point de vue.

Au fur et à mesure, les gens partaient. On commençait vraiment à être les derniers. Une dernière tournée pour tout le monde, et un cocktail sans alcool.
C'est bon, on est les derniers. Les propriétaires ferment les lumières, même au dessus de notre table, pour nous forcer à sortir. Nous n'avions même pas fini notre verre... Finalement, on est sorti, pour continuer à parler dans le parking.
Le matin, j'avais passé les partiels. Levé très tôt donc, et quelque peu stressé, j'étais assez épuisé, en sachant ce qu'on allait faire le lendemain, à 8h00... "Debout dans 5 heures les mecs, n'oubliez pas".

Puis, le 4 heures du mat' arrive. On parle toujours sur le parking.
Soudain, on entend un gros bruit, à moins de cent mètres. Quelque chose qui se cognait contre de la taule peut être. Ca venait du concessionnaire Hyundaï à coté. Seulement dix secondes après, une voiture qui en collait une autre, comme si celle de derrière poussait celle de devant. Je ne sais pas si c'était l'heure ou autre chose, j'y comprenais pas grand chose, on regardait passivement les deux voitures à plein régime s'échapper du Hyundaï.
Une troisième les rejoint après, et s'enfuit en prenant la même direction que les deux précédentes. Bon, cambriolage en direct. Les deux premières voitures sont passées près du parking, et l'un des chauffeur s'est mis à hurler "N'appelez pas les flics bande de fils de p*** !".
Plus de doutes, ce n'était pas un accident... "Bon, on ferait mieux d'y aller".
Puis quelques conneries fusent oralement, finalement, 5 minutes plus tard nous étions au même endroit. Et là, c'est l'œil de Nicolas qui repère la troisième voiture faire trois fois le tour du rond point : une sorte de ronde. "Bon, on se casse". Une fois en voiture, le bandit quitte le rond point pour rejoindre le parking que nous étions en train de quitter. Sans doutes pour relever nos plaques d'immatriculation. Un gangster, comme dans les jeux vidéos... Assez baraque, mal rasé, les cheveux rasés, la tête du malfaiteur...


Quelques ressemblances...
Mais moins bien rasé, et plus baraque.


Selon un CRS du coin, l'enquête est en cours. En gros, il n'y aura rien. Arrivé au chalet de Christophe, on prend tous un lit. On prend soin de ne pas réveiller Elodie qui dort déjà, elle bosse demain. Antoine est pris d'un fou rire, il ne peut s'arrêter. Marc pue des pieds, on n'a plus que 3h30 de sommeil. Tout le monde s'endort. Au bout d'une heure, Antoine et moi commencions à communiquer à propos de Nicolas : "Mais c'est une alarme ce mec...". Si on pouvait mesurer au décibel près son ronflement, ce serait pas de refus...
Bref, le lendemain était super difficile. Christophe a crisé un peu la veille, sa copine ne dormait pas, il allait se faire tuer... ;)

Tout le monde debout, ptit dej'... Ce qui nous fait passer à...


Samedi !

La journée allait être dure. C'était journée Canoë. J'avais pris ma paire de pompe, un débardeur pour éventuellement bronzer... Le temps n'était pas terrible, c'est ça qui était dommage. Il faisait assez frais. La météo prédisait que ça allait se lever. Mouais, pas trop non plus, on pouvait voir des nuages à perte de vue.

On était assez mort. Enfin, j'étais plus cuit niveau fatigue. Les autres étaient cuit niveau cuite... Fallait se porter volontaire pour être cap'tain de soirée ;)
Rendez-vous à neuf heures. Il est moins 10, tout le monde se douche. On va arriver en retard, c'est clair. On monte dans la voiture, et on y va en dix-septième de douzième. Arrivé, 9h15. Une fille nous prend en car, direction le point de départ des Canoës. Des gens étaient deja sur places. On écoute attentivement les consignes en dormant. Il fait frais.

Le principe de cette expédition est de faire quelques kilomètres en canoë, et de descendre la Loire. Notamment une technique de bronzage intéressante ! Départ : Pouilly. Arrivée : Cosne. Distance plus de 25 km.

On prend deux Canoës, un de deux places, et un de trois. Ca va être tendu... Marc et Christophe montent ensemble. Je prend l'autre canoë, avec Antoine au milieu, et Nicolas devant. Je me met à l'arrière pour diriger le Canoë. Un vrai bronx, impossible. On était lourd en plus, et une fois à la dérive, le moniteur nous dit "bon, bah bon courage, et puis de toute façon c'est clair que là, vous allez être trempé".
Perte de sang froid, je commence à rager, j'aurais du prendre mes claquettes, je vais tout défoncer. A force de tourner sur nous même, je n'arrivais pas à diriger l'engin avec le courant, on s'arrête juste en face. Christophe et Marc, qui avaient passé la première chute d'eau, nous attendaient avec impatience, car ils savaient que ça allait partir en cacahuète. Les enf...oirés.
Nicolas prend le gouvernail, je prend la première place. Généralement, celui qui va devant, c'est celui qui rame le plus. On se rapproche des rapides... J'admets avoir péter les plombs à nouveau, car on avançait pas (Antoine et moi ne sommes pas expérimenté). Nicolas laisse paraître quelques faiblesses : au lieu de prendre le rapide de l'avant, c'est-à-dire à la verticale, on le prend à l'horizontal... "Bon dieu Nico, on va carrément se retourner !" : PÉTAGE DE PLOMBS.

Marc et Christophe au loin, retourné en train de nous regarder... Nous trois, en galère... Le canoë se retourne légèrement, on commence à prendre le rapide plutôt bien "droit". Ce "batard" s'enfonce dans l'eau, Vincent, première position, sort du bain. Horrible. Bon, pour moi c'est mort, tout est trempé. On se pose sur une terre près du rapide.


Trempé de haut en bas...


Au bout d'une demie heure, on n'avait fait que 100 mètres ! Quelle performance, du tonnerre de Dieu. On fait une pause pour vider le Canoë, yen a vraiment trop dedans là...


On s'apercoit qu'on s'est arrêté dans des sables mouvants. En effet, l'effet est troublant. Quand tu bouges, tu t'enfonces. Quand tu bouges pas, tu t'enfonces pas. C'est, je crois, l'air que tu libères du sol quand tu bouges, enfin, je ne suis pas géographe, et je n'ai pas fait l'amour à la terre à l'âge de 10 ans, comme Paco Rabanne... (Aucun rapport me direz-vous, ce n'est que la transition de la suite).


C'est parti...



On se rend compte dès le début, vu le faible courant, que ça ne va pas être facile. En effet, avec le peu d'heures dormies en semaine avec les révisions, et surtout la nuit précédente, j'ai envie de dire que je n'ai plus de jus pour avancer... Nicolas ressent un niveau de fainéasse assez puissant dans son canoë, et lance même une demande aux autres "Bon, on fait des changements ?".

Pas trop de réactions de ma part, j'étais cuit, je ne pouvais qu'approuver. Quelques minutes plus tard, je me mets en maillot de bain, et rejoint Christophe dans la flotte.
On procède à quelques changements, et puis je me réveille au fur et à mesure. La flotte en revanche était super bonne. La température, et pourtant il y avait un petit courant, était très bonne. On approche de midi : petit creux... J'avais les deux gros réservoirs en plastique, et étais avec Christophe dans un des deux canoës. Christophe, qui dormait avec son chapeau de paille mexicain, pendant que je ramais comme un esclave. On décide de se poser sur une sorte d'îlot. Les trois devant se posent, et commencent à s'installer. Christophe et moi, en retard car nous n'allions pas vite (il ramait trop fort), décidions de les laisser s'installer et de se barrer avec la bouffe plus loin... On voyait qu'en face, l'appel du Saucisson commençait à faire mal au ventre, ca gueulait, trois personnes en train de péter un câble. Au fond, c'est vrai que c'était amusant, puisque nous avions les vivres ! On s'installe, on pic-nic "proprement", et on commence à se poser, sous un soleil qui commence à se montrer.


Bien choisir son itinéraire, pour ne pas tomber à Saint Nazaire...



Christophe décide de s'enfuir près des buissons pour parler aux animaux (ce passage n'est pas tout à fait compréhensible).

Le soleil tape, on repart. Après quelques baignades rapides pour un rafraichissement, on constate qu'on n'a plus d'eau pour toute l'après midi. Trop soif en plus, horrible.

Olé, poncho.


Enfin, on met les amarres, deuxième session, c'est parti.

Christophe et Nicolas décident de se barrer en douce, avec les réservoirs. En plein milieu de la Loire, ce qu'ils appellent : "une porte". Une porte, c'est passer entre deux obstacles. Ca peut être des troncs d'arbres enfoncés dans l'eau, ça peut être un passage qui se fraie en dessous d'arbres blindés de moustiques... Dans leur cas, il s'agissait d'un tronc d'arbre qui bougeait plutôt pas mal, puisqu'il y avait un courant assez fort. Pendant ce temps, Marc-Antoine et moi montions à bord de notre petite navette. En même temps, on les regarde partir, et prendre leur porte.

Et puis on entend crier assez fort... "On se retourne là, accroche toi !". Ce neuneu de Christophe avait pris sa porte à coeur, tellement à coeur qu'il l'a même trop bien prise. Un tronc dissimulé sous l'eau les a soulevé, puis retourné.

Ce sont deux personnes qu'on voit hurler, mais mortes de rire.

Ce sont nos vêtements dans les réservoirs qu'on voit partir au loin dans la Seine.

Qu'est ce qu'on fait ?

Pas de pitié, on sauve les réservoirs. Alors qu'eux de leur côté, étaient accroché à une branche, le canoë retourné, plein de flotte... "Trop fort !" Bravo les gars. Une fois l'équipement rattrapé, on a tenté de revenir en arrière contre le courant. J'avais le gouvernail en main. Rien à faire, impossible d'arriver sur eux. Le courant nous emportait ailleurs, on avait beau lutter, on ne pouvait pas les rejoindre. Par je ne sais quel moyen, ils ont récupéré leur canoë dans un sens plus convenable, sont montés dedans "à l'arrache", alors qu'il était à moitié plein, et on a accosté un peu plus loin... Décidément, on avancera jamais ! En déjà trois heures de temps, on n'a pas fait le tiers. Alors on se met à vider le canoë, et on commence à prendre une nouvelle route, cette fois plus sérieuse.

On déconne pas maintenant. Antoine, devant.


Il faut qu'on se donne plus, ça ferme à 22h00... :D

Pour la motivation, quelques petits sprints entre rameurs, le premier qui passe le pont, etc...

L'après midi passe. Des fois Christophe dort dans son canoë, trainé par n'importe qui. Des fois, je vais dans l'eau et me fait trainer par un canoë ! Les coups de rame de Nicolas sont tellement puissant qu'ils nous pètent les reins. On croise des gens sur le chemin. Quelques petites blagues pas trop marrantes, et on continue le chemin.

Deux heures plus tard, on décide de prendre une pause. La fatigue commence à se sentir, on s'en voit pas le bout. Le courant est vraiment très faible. Le soleil tape, nos gorges sont sèches, on n'a pas d'eau. Au loin, derrière des arbres, on peut entendre des rires de filles...

Un petit coup de sifflet pour voir de qui il s'agit. Puis, une communication s'établit, suivi d'un coucou sympathique. Je ne sais plus comment c'est arrivé, mais à un moment donné, yavais 4 paires de fesses exposées au soleil, avec des filles qui criaient. Je n'ai pas cité de noms, nous étions 5, seuls 4 mecs étaient assez zinzins pour faire ça, on va dire que c'est leur choix...

On continue le chemin. On est vraiment lessivé là. C'est terrible. Plus loin, une autre pause. Il est trois heures de l'aprem, on se fait une autre petite pause. Puis à un moment, je me retrouve seul sur un canoë... Et des pieds qui m'empêchent de me pauser. Ah ouais ? Très bien. Je me barre seul avec le canoë trois places, et leur laisse derrière moi un canoë, quatre pignoufs, deux réservoirs. "Obligé, ils vont couler !".

Et puis je m'enfuis, rira bien qui rira le dernier !

Cassos...


Je ne sais pas comment ils ont fait, toujours est t'il qu'ils étaient à deux sur un siège, avec Antoine devant, des réservoirs entre les deux, j'ai rien compris. "Quand on ramait, l'eau rentrait presque, c'était limite". En revanche, quand ils étaient parti, avec 4 pagaies, je peux vous dire qu'ils ont plutôt bourlingué...

Voici la composition : Antoine devant, Marc et Christophe au milieu, et Nicolas au gouvernail. Des réservoirs par ci par là. En gros, c'était quelque chose comme ça :




Assez représentatif, non ?



Je tentais de leur échapper, mais un sorte de courant me faisait tourner en rond. Ramer seul, c'est pas si simple.
Résultat... Marc arrive et tente de me couler : accepté, pour lui faire plaisir.
Bref, on se grouille de rentrer, car là franchement, on n'en peux plus. On arrive vers 17h00 après quelques portes, quelques ponts... Quelques rires aussi !
On accoste à l'arrache, allez on rentre et on boit quoi, j'en peux plus...
Christophe et Nicolas sont de sortie ce soir pour une crémaillère. Je reste au chalet avec Marc-Antoine. On va manger sur Sancerre dans un restaurant sympa.


Une place sympa. Pas mal de vieux, enfin bon.



On rentre, des vraies lavettes. Au lit quoi... On devait rejoindre les deux autres à leur crémaillère, un autre jour la crémaillère... La seule chose qu'on craint, c'est que ces nanards nous réveillent à la trompette dans la nuit. Alors on prend soin de leur dire d'être sympa ce soir... La veille on n'a dormi que quatre heures, aujourd'hui, on vient d'enchainer plus de 25 kilomètres... On dort, on dort tellement bien... Les moustiques, allez y si vous voulez, on s'en fou...

Les heures passent, et soudain arriva ce que vous attendez...

Dimanche !



Le lendemain, on se réveille vers 11h00 je crois, je sais même plus à vrai dire. Mais quel sommeil de plomb, je pense que pour les autres aussi, ça nous était pas arrivé depuis... perpette ! Personne n'a entendu le ronflement terrible de Nicolas qui fait tomber les tableaux (ce mec est dangeureux, faut rien de fragile dans les chambres quand il est là).

Deuxième chtit barbec ? C'est parti... Mais tout d'abord, une partie de pétanque, sous un fond musical assez... classique. OUI, de la musique classique, à fond les enceintes, c'est juste Élodie qui pétait des câbles à l'intérieur, enfin, ça ne nous a pas empêché de jouer notre partie en fanfarre ! Puis, les deux Nathalie sont arrivés, on a fait péter le barbecue (expression de qualité, vous remarquerez).

L'après-midi, tout le monde à la piscine, histoire de parfaire le bronzage... ;)


Pas de pitié, entrée à deux euros !
La piscine de Sancerre connue pour... rien du tout à vrai dire. Cathy et Céline nous rejoignent.

Après-midi plutôt sympathique une fois de plus. Une soleil qui fracasse, des crèmes qui sont les bienvenues. Une fois les quelques plats sur l'eau passés (c'est pas forcément moi), les plongeons, les noyades de Cathy...

On termine la soirée à Sancerre devant une bonne petite glace. La serveuse ehust longue, et n'a aucun sens de l'humour. Elle ne représente pas du tout l'habitant sancerrois qu'on imagine !

Enfin, plutôt cuit, on se rentre... De retour au chalet, on prépare les bagages, et on taille !


De retour, c'était un sommeil profond... et mérité. Ces petits weekend de quelques jours, vraiment résumés à l'essentiel, sont des crises de rire continues, du soleil, de la bonne humeur (ouais...). Vivement qu'on y retourne... Et c'est prévu la semaine prochaine, on verra bien :)

mardi, juillet 22, 2008

Ah, les mathématiques...

Ah les mathématiques, ça explique tout...


Tout bonnement j'ai déjà demandé ce que voulait dire, se donner à 100%?

Et comment font ceux (ou celles) qui se vantent de se donner à PLUS de 100% ?

Voici une explication scientifiquement prouvée qui peut donner à réfléchir...

Si l'on considère que:
A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Correspondent à :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26

Alors faisons des comparatifs :
- T R A V A I L = 20+18+1+22+1+9+12 = 83%
- E N G A G E M E N T = 5+14+7+1+7+5+13+5+14+20 = 91%
- C O M P E T E N C E = 3+15+13+16+5+20+5+14+3+5 = 99%

On s'approche du résultat, n'est ce pas ?
Alors continuons :
- A T T I T U D E = 1+20+20+9+20+21+4+5 = 100%
- D I S C I P L I N E = 4+9+19+3+9+16+12+9+14+5 = 100%

Impressionnant, non ?

Continuons donc :
- V A N T A R D I S E = 22+1+14+20+1+18+4+9+19+5 = 113%

Là, on vient de péter le 100% !
Voyons jusqu'où cela peut nous mener...

- LÉCHER LE CUL = 12+5+3+8+5+18+12+5+3+21+12 = 120%
- CIRER LES POMPES = 3+9+18+5+18+12+5+19+16+15+13+16+5+19 = 133%
- SUCER LE BOSS = 19+21+3+18+12+5+2+15+19+19 = 173%

Alors la prochaine fois que quelqu'un (e) vous dira :

'Moi, dans mon travail, je me donne à plus de 100%'

Vous saurez pourquoi !

Pardonnez moi toutefois sur ce léger dérapage au niveau du vocabulaire, ça ne se reproduira plus !

lundi, juillet 21, 2008

14 Juillet sur Antony

J'ai passé le 14 Juillet à Antony pour le feu d'artifice. Il était plutôt sympathique, si vous pouvez voir quelques images tout d'abord :

Joli tout de même, non?

Le feu d'artifice s'est déroulé près du parc Keller, presque sur Chatenay-Malabry.

Des jolies traînées de couleur.


Beaucoup de monde, plus de place pour se garer. C'est le 14 Juillet. Les gens qui roulaient du coup se sont arrêté sur la route, créant des bouchons, mais bon, ils s'en moquent puisqu'ils ont une belle vue !


Voici une vidéo qui en rassemblent plusieurs petites :

Une vidéo sponsorisée par le RC Lens, et commentée par Trapatony évidemment.

Toutefois, une chose que l'on peut regretter, des adolescents abrutis présents dans la foule. On l'a tous été, mais peut être pas aussi abrutis que ce soir là. Un pétard du type "Mammouth", les gros pour ceux qui ne connaissent pas trop les modèles, a été jeté sur la foule, à la fin du spectacle, un pétard qui est retombé sur une petite fille qui n'avait selon moi même pas 5 ans. Elle n'avait visiblement rien, mais bon, les parents en panique, la fille qui pleure, c'est navrant de se lancer des défis stupides pour épater la galerie...


Quand au feu d'artifice de Paris, le lendemain, je l'ai loupé. On voulait y aller en velib', et c'était plutôt foiré. Plus de Velib', la station qui redémarre, plantage système à n'en rien comprendre... On a entendu le feu, mais rien vu. Finalement, on est allé vers la tour Eiffel et des gens rentraient d'un concert de Jennifer paraissait-il. Donc passer à travers la foule (des milliers de personnes, j'avais jamais vu autant de monde d'un coup), c'était désagréable un moment, les flux de chaleur passer près de soi... Le tout à contre-sens !

lundi, juillet 14, 2008

Best of Caméra embarquée


Une vidéo que j'adore, que seuls ceux qui en ont dans le froc peuvent réaliser...

Il faut du cran hein...


Si quelqu'un a deja fait quelque chose de ce style, faites moi signe...

vendredi, juillet 11, 2008

Presto !

J'ai trouvé cette animation vraiment excellente. Drôle et réussi, ce cours métrage s'appelle Presto, le tout, réalisé par Pixar Studios...


Le lapin !

Tasmin Archer - Sleeping Sattelite

Cette artiste n'était pas vraiment inconnue, j'étais surpris.

Même si beaucoup de monde ont buté sur le titre de cette chanson quand je leur balançais l'air... (j'essaye de me justifier !)

Cette chanson, que je trouve très agréable, et probablement l'une des plus belles que je connaisse.

Pour ceux qui ne connaissaient pas, voici le clip musical de Tasmin Archer:

Tasmin Archer - Sleeping Satellite

Et pour ceux qui aimeraient savoir quelles sont les paroles qui planent autour de ce refrain :

I blame you for the moonlit sky
and the dream that died
with the eagles flight
I blame you for the moonlit nights
when I wonder why
are the seas still dry?
don't blame this sleeping satellite


Tout est dit ! Ou presque.

En faisant mes recherches, j'ai donc réussi à trouver. Assez compliqué, voyez plutôt :
Sur cette vidéo, on peut voir inscrit sur l'autoradio "Q-Music". Mais Q-Music, on l'écoutait quand ? Il faisait nuit... Est-ce une radio française ? belge ? hollandaise ? En regardant l'heure à laquelle cette vidéo a été créée dans les propriétés de cette dernière, j'ai vu 00h26. Donc, nous étions en Belgique. Alors, j'ai tapé Q-Music sur Google, et suis tombé sur ce site, flamand probablement. En leur donnant l'heure, j'ai réussi à obtenir le bon titre caché dans la playlist.

Je me suis cassé le cul alors que j'aurais pu demander à Marie la perruque rose Audrey les ongles rouges, ou tout simplement mon voisin ! Christopher qui disait que c'était Texas, enfin.

Mais le mieux, en me baladant sur Dailymotion, et en commentant une vidéo de Tasmin, j'ai reçu un message, qui me remerciait des compliments que je laissais sur cette vidéo. Cette personne n'est autre que Tasmin Archer ! Pas mal, pour quelqu'un qui ne connaissait pas cette artiste un jour plus tôt ! Je communique donc avec elle via messagerie, elle vit en Angleterre. J'essaierai d'en savoir un peu plus sur elle, et de l'écrire ici. En tout cas, elle est très gentille, et ça fait plaisir.

C'était une artiste à la chanson légendaire, mais malheureusement à la carrière éphémère. J'espère qu'elle se relancera... Je vais lui demander :)


C'est lui le coupable !