dimanche, juillet 27, 2008

Le fameux weekend de Sancerre

Sancerre, la ville des bons vins. Je ne suis qu'un petit amateur, et pourtant, le Sancerre a du goût !
Par la même occasion, je vous conseille les Sancerre de chez "Millet". Un grand cru...

Sancerre ? Mais c'est ou !


Agrandir le plan
Te casse pas les fesses, c'est juste là...



Un weekend mi-juillet assez grandiose, qui nous fait presque oublier ce qu'il se passe à coté, dans notre vie quotidienne. Ce petit weekend de deux jours, deux nuits, était tellement bien que je pourrais le classer parmi les dossiers vacances d'une semaine. Je préférerai presque passer plusieurs weekend comme ça, que de passer des vacances d'une à deux semaines.

Départ vendredi soir 20h00. Ça va nous faire arriver à 22h00 en roulant bien... Marc ne veut pas trop me laisser le volant, je roulerai trop vite... Bon, ok, t'excite pas, c'est bon...

Une fois arrivé dans l'allée de chez Christophe, ça nous donne :

Vendredi soir !

Ya du monde sur place déjà, on est pas arrivé les premiers ! Les deux Nathalie, Christophe & Nico, et bien sur Élodie, la fille qui fait les gâteaux... Le barbecue chauffait déjà. Bon, il est 22h00 quand même, ça paraissait logique. A peine arrivé, ça charrie dejà. Ca fuse. Nom de dieu, les vannes, c'est Christophe qui prend cher.
On était là pour passer un weekend de folie, alors autant commencer en chantant... Je les ai saoulé pour qu'on aille faire un karaoké, en contrepartie, je suis le cap'tain de soirée... "T'es lourd Vinz, demain on a une grosse journée..."
Avec une heure de route, on arrive dans la ville de Bourges aux alentours de minuit.

Une sorte de BAR-billard. Allons, rentrons. Quelques jeunes à l'allure de la campagne (la mode de Paris d'il y a deux ans, le temps qu'elle traverse les champs). Bon, quelques racailles, ce qui m'a étonné aussi. Et des vieux beaufs, gros bras marcel, cheveux rasés... Des cakes, mais bon, on les apprécie, chacun son style...

Une ambiance sympathique à l'intérieur. On croise d'ailleurs par la même occasion deux copines de Christophe, Céline & Cathy. Aussi délirantes que lui d'ailleurs, on voit tout de suite qu'on est pas à Paris. La mentalité est vraiment différente.
A peine assis, Christophe me chauffe pour aller chanter. Chanter quoi ? C'est parti...
Mais là, je reçois un SMS...



Mais pourquoi il m'envoie ça à cette heure ce nanard ?


Bon, la blague, je la connaissais, elle vient de moi... Quoi faut avoir honte ? La preuve, elle se diffuse par SMS ! Maintenant, faut comprendre le contexte. Revenons à notre nanard. Bon, j'ai pas trop le temps de répondre, on verra plus tard... Et là, je me retourne pour regarder qui étaient les gens qui nous entouraient. Nom de dieu, Fabien était assis à une table avec une dizaine de ses amis ! Ce type est dans ma promotion à Paris. Le monde est petit ! "Naaaaaaaaannn !!! Qu'est ce que tu fous là !". Ce mecton habite le coin en fait. Dans cette ville même, j'y avais pas pensé. C'est énorme. Alors je présente ma troupe, et il me présente à la sienne. C'est une soirée qui commence plutôt bien...
De retour vers le micro, en compagnie de Fabien et de Christophe, le propriétaire du BAR nous dit que le karaoké est annulé ce soir...

Il me fait une blague Jacky ?


- Pas de ça chez nous, vous avez un micro, pas besoin d'écran et de paroles pour chanter...
- Vous voulez le micro pour chanter ? Allez y, mais je suis pas responsable.
- Ok...

Et là, c'est Christophe, de Sancerre, paysan dans l'âme, ne cesserai-je de répéter, qui s'empare du micro... Il y avait un fond de musique banal, je m'attendais à chanter du Gilbert Montagné, quand Christophe se met à chanter une chanson paillarde. L'enfoiré, il démarre plutôt fort. Je ne préfère pas mettre les paroles sur le blog, ne m'en voulez pas.

Toutes les tables se retournent pour écouter Christophe parler de sa zigounette au micro. Je m'attendais à une réaction parisienne "quel bouffon". Finalement, tous les gens étaient mort de rire. Amusant ! Ne connaissant pas trop les paroles, j'ai préféré applaudir pour mettre le tempo.
Ah oui, j'oubliais. N'étant pas du coin, nous autre parisiens, Antoine, Marc et moi, nous permettons de faire ce qu'il nous plaît à tout point de vue.

Au fur et à mesure, les gens partaient. On commençait vraiment à être les derniers. Une dernière tournée pour tout le monde, et un cocktail sans alcool.
C'est bon, on est les derniers. Les propriétaires ferment les lumières, même au dessus de notre table, pour nous forcer à sortir. Nous n'avions même pas fini notre verre... Finalement, on est sorti, pour continuer à parler dans le parking.
Le matin, j'avais passé les partiels. Levé très tôt donc, et quelque peu stressé, j'étais assez épuisé, en sachant ce qu'on allait faire le lendemain, à 8h00... "Debout dans 5 heures les mecs, n'oubliez pas".

Puis, le 4 heures du mat' arrive. On parle toujours sur le parking.
Soudain, on entend un gros bruit, à moins de cent mètres. Quelque chose qui se cognait contre de la taule peut être. Ca venait du concessionnaire Hyundaï à coté. Seulement dix secondes après, une voiture qui en collait une autre, comme si celle de derrière poussait celle de devant. Je ne sais pas si c'était l'heure ou autre chose, j'y comprenais pas grand chose, on regardait passivement les deux voitures à plein régime s'échapper du Hyundaï.
Une troisième les rejoint après, et s'enfuit en prenant la même direction que les deux précédentes. Bon, cambriolage en direct. Les deux premières voitures sont passées près du parking, et l'un des chauffeur s'est mis à hurler "N'appelez pas les flics bande de fils de p*** !".
Plus de doutes, ce n'était pas un accident... "Bon, on ferait mieux d'y aller".
Puis quelques conneries fusent oralement, finalement, 5 minutes plus tard nous étions au même endroit. Et là, c'est l'œil de Nicolas qui repère la troisième voiture faire trois fois le tour du rond point : une sorte de ronde. "Bon, on se casse". Une fois en voiture, le bandit quitte le rond point pour rejoindre le parking que nous étions en train de quitter. Sans doutes pour relever nos plaques d'immatriculation. Un gangster, comme dans les jeux vidéos... Assez baraque, mal rasé, les cheveux rasés, la tête du malfaiteur...


Quelques ressemblances...
Mais moins bien rasé, et plus baraque.


Selon un CRS du coin, l'enquête est en cours. En gros, il n'y aura rien. Arrivé au chalet de Christophe, on prend tous un lit. On prend soin de ne pas réveiller Elodie qui dort déjà, elle bosse demain. Antoine est pris d'un fou rire, il ne peut s'arrêter. Marc pue des pieds, on n'a plus que 3h30 de sommeil. Tout le monde s'endort. Au bout d'une heure, Antoine et moi commencions à communiquer à propos de Nicolas : "Mais c'est une alarme ce mec...". Si on pouvait mesurer au décibel près son ronflement, ce serait pas de refus...
Bref, le lendemain était super difficile. Christophe a crisé un peu la veille, sa copine ne dormait pas, il allait se faire tuer... ;)

Tout le monde debout, ptit dej'... Ce qui nous fait passer à...


Samedi !

La journée allait être dure. C'était journée Canoë. J'avais pris ma paire de pompe, un débardeur pour éventuellement bronzer... Le temps n'était pas terrible, c'est ça qui était dommage. Il faisait assez frais. La météo prédisait que ça allait se lever. Mouais, pas trop non plus, on pouvait voir des nuages à perte de vue.

On était assez mort. Enfin, j'étais plus cuit niveau fatigue. Les autres étaient cuit niveau cuite... Fallait se porter volontaire pour être cap'tain de soirée ;)
Rendez-vous à neuf heures. Il est moins 10, tout le monde se douche. On va arriver en retard, c'est clair. On monte dans la voiture, et on y va en dix-septième de douzième. Arrivé, 9h15. Une fille nous prend en car, direction le point de départ des Canoës. Des gens étaient deja sur places. On écoute attentivement les consignes en dormant. Il fait frais.

Le principe de cette expédition est de faire quelques kilomètres en canoë, et de descendre la Loire. Notamment une technique de bronzage intéressante ! Départ : Pouilly. Arrivée : Cosne. Distance plus de 25 km.

On prend deux Canoës, un de deux places, et un de trois. Ca va être tendu... Marc et Christophe montent ensemble. Je prend l'autre canoë, avec Antoine au milieu, et Nicolas devant. Je me met à l'arrière pour diriger le Canoë. Un vrai bronx, impossible. On était lourd en plus, et une fois à la dérive, le moniteur nous dit "bon, bah bon courage, et puis de toute façon c'est clair que là, vous allez être trempé".
Perte de sang froid, je commence à rager, j'aurais du prendre mes claquettes, je vais tout défoncer. A force de tourner sur nous même, je n'arrivais pas à diriger l'engin avec le courant, on s'arrête juste en face. Christophe et Marc, qui avaient passé la première chute d'eau, nous attendaient avec impatience, car ils savaient que ça allait partir en cacahuète. Les enf...oirés.
Nicolas prend le gouvernail, je prend la première place. Généralement, celui qui va devant, c'est celui qui rame le plus. On se rapproche des rapides... J'admets avoir péter les plombs à nouveau, car on avançait pas (Antoine et moi ne sommes pas expérimenté). Nicolas laisse paraître quelques faiblesses : au lieu de prendre le rapide de l'avant, c'est-à-dire à la verticale, on le prend à l'horizontal... "Bon dieu Nico, on va carrément se retourner !" : PÉTAGE DE PLOMBS.

Marc et Christophe au loin, retourné en train de nous regarder... Nous trois, en galère... Le canoë se retourne légèrement, on commence à prendre le rapide plutôt bien "droit". Ce "batard" s'enfonce dans l'eau, Vincent, première position, sort du bain. Horrible. Bon, pour moi c'est mort, tout est trempé. On se pose sur une terre près du rapide.


Trempé de haut en bas...


Au bout d'une demie heure, on n'avait fait que 100 mètres ! Quelle performance, du tonnerre de Dieu. On fait une pause pour vider le Canoë, yen a vraiment trop dedans là...


On s'apercoit qu'on s'est arrêté dans des sables mouvants. En effet, l'effet est troublant. Quand tu bouges, tu t'enfonces. Quand tu bouges pas, tu t'enfonces pas. C'est, je crois, l'air que tu libères du sol quand tu bouges, enfin, je ne suis pas géographe, et je n'ai pas fait l'amour à la terre à l'âge de 10 ans, comme Paco Rabanne... (Aucun rapport me direz-vous, ce n'est que la transition de la suite).


C'est parti...



On se rend compte dès le début, vu le faible courant, que ça ne va pas être facile. En effet, avec le peu d'heures dormies en semaine avec les révisions, et surtout la nuit précédente, j'ai envie de dire que je n'ai plus de jus pour avancer... Nicolas ressent un niveau de fainéasse assez puissant dans son canoë, et lance même une demande aux autres "Bon, on fait des changements ?".

Pas trop de réactions de ma part, j'étais cuit, je ne pouvais qu'approuver. Quelques minutes plus tard, je me mets en maillot de bain, et rejoint Christophe dans la flotte.
On procède à quelques changements, et puis je me réveille au fur et à mesure. La flotte en revanche était super bonne. La température, et pourtant il y avait un petit courant, était très bonne. On approche de midi : petit creux... J'avais les deux gros réservoirs en plastique, et étais avec Christophe dans un des deux canoës. Christophe, qui dormait avec son chapeau de paille mexicain, pendant que je ramais comme un esclave. On décide de se poser sur une sorte d'îlot. Les trois devant se posent, et commencent à s'installer. Christophe et moi, en retard car nous n'allions pas vite (il ramait trop fort), décidions de les laisser s'installer et de se barrer avec la bouffe plus loin... On voyait qu'en face, l'appel du Saucisson commençait à faire mal au ventre, ca gueulait, trois personnes en train de péter un câble. Au fond, c'est vrai que c'était amusant, puisque nous avions les vivres ! On s'installe, on pic-nic "proprement", et on commence à se poser, sous un soleil qui commence à se montrer.


Bien choisir son itinéraire, pour ne pas tomber à Saint Nazaire...



Christophe décide de s'enfuir près des buissons pour parler aux animaux (ce passage n'est pas tout à fait compréhensible).

Le soleil tape, on repart. Après quelques baignades rapides pour un rafraichissement, on constate qu'on n'a plus d'eau pour toute l'après midi. Trop soif en plus, horrible.

Olé, poncho.


Enfin, on met les amarres, deuxième session, c'est parti.

Christophe et Nicolas décident de se barrer en douce, avec les réservoirs. En plein milieu de la Loire, ce qu'ils appellent : "une porte". Une porte, c'est passer entre deux obstacles. Ca peut être des troncs d'arbres enfoncés dans l'eau, ça peut être un passage qui se fraie en dessous d'arbres blindés de moustiques... Dans leur cas, il s'agissait d'un tronc d'arbre qui bougeait plutôt pas mal, puisqu'il y avait un courant assez fort. Pendant ce temps, Marc-Antoine et moi montions à bord de notre petite navette. En même temps, on les regarde partir, et prendre leur porte.

Et puis on entend crier assez fort... "On se retourne là, accroche toi !". Ce neuneu de Christophe avait pris sa porte à coeur, tellement à coeur qu'il l'a même trop bien prise. Un tronc dissimulé sous l'eau les a soulevé, puis retourné.

Ce sont deux personnes qu'on voit hurler, mais mortes de rire.

Ce sont nos vêtements dans les réservoirs qu'on voit partir au loin dans la Seine.

Qu'est ce qu'on fait ?

Pas de pitié, on sauve les réservoirs. Alors qu'eux de leur côté, étaient accroché à une branche, le canoë retourné, plein de flotte... "Trop fort !" Bravo les gars. Une fois l'équipement rattrapé, on a tenté de revenir en arrière contre le courant. J'avais le gouvernail en main. Rien à faire, impossible d'arriver sur eux. Le courant nous emportait ailleurs, on avait beau lutter, on ne pouvait pas les rejoindre. Par je ne sais quel moyen, ils ont récupéré leur canoë dans un sens plus convenable, sont montés dedans "à l'arrache", alors qu'il était à moitié plein, et on a accosté un peu plus loin... Décidément, on avancera jamais ! En déjà trois heures de temps, on n'a pas fait le tiers. Alors on se met à vider le canoë, et on commence à prendre une nouvelle route, cette fois plus sérieuse.

On déconne pas maintenant. Antoine, devant.


Il faut qu'on se donne plus, ça ferme à 22h00... :D

Pour la motivation, quelques petits sprints entre rameurs, le premier qui passe le pont, etc...

L'après midi passe. Des fois Christophe dort dans son canoë, trainé par n'importe qui. Des fois, je vais dans l'eau et me fait trainer par un canoë ! Les coups de rame de Nicolas sont tellement puissant qu'ils nous pètent les reins. On croise des gens sur le chemin. Quelques petites blagues pas trop marrantes, et on continue le chemin.

Deux heures plus tard, on décide de prendre une pause. La fatigue commence à se sentir, on s'en voit pas le bout. Le courant est vraiment très faible. Le soleil tape, nos gorges sont sèches, on n'a pas d'eau. Au loin, derrière des arbres, on peut entendre des rires de filles...

Un petit coup de sifflet pour voir de qui il s'agit. Puis, une communication s'établit, suivi d'un coucou sympathique. Je ne sais plus comment c'est arrivé, mais à un moment donné, yavais 4 paires de fesses exposées au soleil, avec des filles qui criaient. Je n'ai pas cité de noms, nous étions 5, seuls 4 mecs étaient assez zinzins pour faire ça, on va dire que c'est leur choix...

On continue le chemin. On est vraiment lessivé là. C'est terrible. Plus loin, une autre pause. Il est trois heures de l'aprem, on se fait une autre petite pause. Puis à un moment, je me retrouve seul sur un canoë... Et des pieds qui m'empêchent de me pauser. Ah ouais ? Très bien. Je me barre seul avec le canoë trois places, et leur laisse derrière moi un canoë, quatre pignoufs, deux réservoirs. "Obligé, ils vont couler !".

Et puis je m'enfuis, rira bien qui rira le dernier !

Cassos...


Je ne sais pas comment ils ont fait, toujours est t'il qu'ils étaient à deux sur un siège, avec Antoine devant, des réservoirs entre les deux, j'ai rien compris. "Quand on ramait, l'eau rentrait presque, c'était limite". En revanche, quand ils étaient parti, avec 4 pagaies, je peux vous dire qu'ils ont plutôt bourlingué...

Voici la composition : Antoine devant, Marc et Christophe au milieu, et Nicolas au gouvernail. Des réservoirs par ci par là. En gros, c'était quelque chose comme ça :




Assez représentatif, non ?



Je tentais de leur échapper, mais un sorte de courant me faisait tourner en rond. Ramer seul, c'est pas si simple.
Résultat... Marc arrive et tente de me couler : accepté, pour lui faire plaisir.
Bref, on se grouille de rentrer, car là franchement, on n'en peux plus. On arrive vers 17h00 après quelques portes, quelques ponts... Quelques rires aussi !
On accoste à l'arrache, allez on rentre et on boit quoi, j'en peux plus...
Christophe et Nicolas sont de sortie ce soir pour une crémaillère. Je reste au chalet avec Marc-Antoine. On va manger sur Sancerre dans un restaurant sympa.


Une place sympa. Pas mal de vieux, enfin bon.



On rentre, des vraies lavettes. Au lit quoi... On devait rejoindre les deux autres à leur crémaillère, un autre jour la crémaillère... La seule chose qu'on craint, c'est que ces nanards nous réveillent à la trompette dans la nuit. Alors on prend soin de leur dire d'être sympa ce soir... La veille on n'a dormi que quatre heures, aujourd'hui, on vient d'enchainer plus de 25 kilomètres... On dort, on dort tellement bien... Les moustiques, allez y si vous voulez, on s'en fou...

Les heures passent, et soudain arriva ce que vous attendez...

Dimanche !



Le lendemain, on se réveille vers 11h00 je crois, je sais même plus à vrai dire. Mais quel sommeil de plomb, je pense que pour les autres aussi, ça nous était pas arrivé depuis... perpette ! Personne n'a entendu le ronflement terrible de Nicolas qui fait tomber les tableaux (ce mec est dangeureux, faut rien de fragile dans les chambres quand il est là).

Deuxième chtit barbec ? C'est parti... Mais tout d'abord, une partie de pétanque, sous un fond musical assez... classique. OUI, de la musique classique, à fond les enceintes, c'est juste Élodie qui pétait des câbles à l'intérieur, enfin, ça ne nous a pas empêché de jouer notre partie en fanfarre ! Puis, les deux Nathalie sont arrivés, on a fait péter le barbecue (expression de qualité, vous remarquerez).

L'après-midi, tout le monde à la piscine, histoire de parfaire le bronzage... ;)


Pas de pitié, entrée à deux euros !
La piscine de Sancerre connue pour... rien du tout à vrai dire. Cathy et Céline nous rejoignent.

Après-midi plutôt sympathique une fois de plus. Une soleil qui fracasse, des crèmes qui sont les bienvenues. Une fois les quelques plats sur l'eau passés (c'est pas forcément moi), les plongeons, les noyades de Cathy...

On termine la soirée à Sancerre devant une bonne petite glace. La serveuse ehust longue, et n'a aucun sens de l'humour. Elle ne représente pas du tout l'habitant sancerrois qu'on imagine !

Enfin, plutôt cuit, on se rentre... De retour au chalet, on prépare les bagages, et on taille !


De retour, c'était un sommeil profond... et mérité. Ces petits weekend de quelques jours, vraiment résumés à l'essentiel, sont des crises de rire continues, du soleil, de la bonne humeur (ouais...). Vivement qu'on y retourne... Et c'est prévu la semaine prochaine, on verra bien :)

3 commentaires:

trapatony a dit…

bien drole ce ticket je retiens "Ce sont nos vêtements dans les réservoirs qu'on voit partir au loin dans la Seine" on était pas dans la loire ?? bref tant pis on s'en fou bravo vinz pour ce ticket .. mais t'a pas parler de mon cd rohhhhhhhhhhh

Unknown a dit…

Plutôt marrant ce ticket !
a refaire au plus vite.

Anonyme a dit…

salut!! c'est cathy
super drôle les aventures de vincent et ses copains en kanöe!
par contre je ne me suis pas noyé mais j'ai bien joué et pris quelques tasses dans la piscine.

j'espère très prochainement refaire des après-midis comme ça aussi!
ciaooo