lundi, mai 26, 2008

Indiana Jones

Dimanche 25 Mai, le besoin ultime de l'exceptionnel.
Harisson Ford, au cinéma dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal.

Un film époustouflant ! Il faut en revanche s'équiper de protection pour rester accrocher à son siège, car il y a des scènes intéressantes pour les amateurs de trucs incompréhensibles.

First,
Un film qui démarre sur les chapeaux de roues, Indiana et son pote le gros, à deux dans un coffre de Renault 5. A 60 ans, c'est pas un souci de se plier en 4. C'est une question d'entraînement.
La suite dans la bande annonce...


La bande annonce, en personne...


Ouais, ça a l'air pas mal quand même ! Il fait des cascades le vieux. Le film a été apprécié par certains, et trouvé vraiment décevant par d'autres. Le fait est que ce film est à mon avis "un trip" de Steven Spielberg, qui s'est laissé guidé par les idées non pas saugrenues, mais quelque peu osées. Spielberg a déjà fait dans son passé des films plus que paranormaux puisqu'ils mettent en scène des extra-terrestres. A ce dernier, nous ajoutons Georges Lucas, auteur des 6 Star-Wars retransmis sur grand écran.

Dans ce film, nous pouvons trouver énormément de scènes totalement impossibles à réaliser dans notre petite vie réelle... Mais la pointe d'humour que nous retrouvons dans les épisodes précédents est toujours présente, intacte avec l'âge, et, plaisante. Ceux qui ont été déçus par le dernier opus des Indy ont surtout été surpris par ces doses de cascades impossibles. Ils oublient certainement que dans les anciens opus de cette série aventurières, Spielberg n'y était pas allé de main morte non plus, quand il s'agit d'arracher un coeur qui bat encore lors d'un sacrifice, ou autre...
Nous restons entre guillemets, dans le fantastique. Et finalement, mon avis est que c'est tant mieux. Même à 60 ans... Et puis il ne les fait pas.

Harrison Ford


Les plus :

- Un Indiana Jones en forme, le même qu'avant avec les cheveux grisonnants, mais qu'importe, il a un chapeau...

- La présence d'E.T. dans le film, qui a fait une brève apparition, juste histoire de passer le coucou. Il est sympa E.T., il cherchait son téléphone. Alors dans la nuit, il allumait son doigt pour faire lampe torche. Le reste dans le film.

- Les come-backs d'anciens acteurs, comme son co-équipier de toujours, ainsi que son ancienne copine, qui lui fera une révélation étonnante au cours du film.

- Le second rôle très bien joué, par un jeune acteur américain à la progression sky-rocket, ayant précédemment joué dans Transformers, et autre. Son rôle de rocker lui va bien.

- La présence de Sean Connery sur un petit cadre posé sur un bureau. Son portrait a fait pleuré quelques personnes dans la salle.

- La présence de Mulder et de Scully. Ils font une brève apparition eux aussi. Ils mènent juste une enquête en parallèle. Aussi assujetti à cette affaire, Nicolas Cage, le ghost Rider, sur sa bécane.

- On note qu'il est désormais possible de traverser la forêt de Fontainebleau par le biais de lianes en quelques minutes, pour cela, il faut juste regarder un singe dans les yeux.


Mulder et Scully passaient par là.


Les moins :

- On se demande sur quelle planète on est des fois. Indy rentre dans une petite prison de Nonnes, alors son pote passe le balai. Soudain, l'écran noir, on passe à une autre scène. Il s'est passé quoi ?!

- La scène suivante est celle d'une maquette, certes bien fait, mais... On voit que c'est une maquette "Bandaï", acheté 49 euros chez ATAC. Cette maquette de temple Incas est jolie néanmoins, mais bon.

- On regrette la non-présence d'Omar et Fred dans le film. C'est vrai quoi, ils ont invité Mulder, Scully, Nicolas Cages, les Indiens des Yamakasi, Nana Mouskouri dans le rôle de la russe...

- Si je regarde dans les yeux une fusée, je pourrai me poser sur Mars ? Si je regarde Antoine, je descend en L2 ? Tant de questions levées par ce film, qui restent pour le moment sans réponses.



PS : J'ajoute, mais ça, c'est juste un point positif qui n'a aucun rapport avec le film, mais plutôt relatant avec la salle de cinéma. Le cinéma des Ulis, bien que périmé, probablement construit dans les 60s, est vraiment salle, et vieillot. Cependant, le bon point est l'intégration de sièges pour handicapés au hasard, dans la salle.


On remarquera la présence de Rick Hunter vers la fin.

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